Le dinar algérien va vers une chute libre, faisant augmenter la crainte chez les citoyens et touchant la baisse de leur pouvoir d’achat, déjà alourdis par le coût de la vie trop élevé.
La baisse du dinar qui est déjà chancelant depuis 2015 avec le début de l’émergence de rapports de la faiblesse de la demande de pétrole dans la nouvelle année, qui ont pousser le gouvernement à essayer de concevoir des équilibres financiers pour absorber l’impact des chocs des crises de revenus et la rapide imprévisible tendance vers le zéro des réserves de devises fortes du pays.
En raison de la mauvaise gestion du régime des généraux et qui n’arrive pas à avoir une vision clair et précise, outre, le caractère arbitraire du gouvernement qui va dans tous les sens comme un fou.
En revanche, les inquiétudes en Algérie concernant la hausse des prix des produits alimentaires sont revenues à la surface pour faire avancer la scène économique après que le dinar ait enregistré des chiffres bas historiques par rapport au dollar et à l’euro, ce qui met en garde contre de nouvelles flambées de prix et menace les projets du gouvernement d’annuler progressivement les subventions offert aux citoyens pauvres.
La dévaluation du dinar a également soulevé des inquiétudes pour les observateurs des affaires économiques qui prévoient que le flottement du dinar accélère le taux de baisse du pouvoir d’achat des Algériens.
Dans ce contexte, de nombreux économistes affirment que la dépréciation du dinar a un impact négatif non seulement sur les pauvres mais aussi sur la classe moyenne car elle menace de précipiter encore l’effondrement du pouvoir d’achat dans l’année en cours en raison de la poursuite du processus du flottement du Dinar et de l’insistance du gouvernement à recourir a réduire le tarif moyen sur les importations en baissant la valeur du dinar pour prolonger la durée de vie des réserves de change, et c’est ce qui va dépêcher l’effondrement du pays et l’émergence de révolutions des affamés en Algérie.