Personne n’a le moindre doute, parmi tant de problèmes si divers qui affligent les Algériens aujourd’hui, aucun n’est pire que la corruption. Cela ne peut même pas être comparé à la terrible crise du système de santé ou avec les scandales quotidiens du secteur judiciaire ni avec les contrats financiers que les généraux et ses chiens manipulent à leur aise.
Les opérations sous la bannière de la lutte contre la corruption, doivent avoir des personnes honorables, irréprochables, même si c’était très difficile ou impossible dans un pays de voleurs comme l’Algérie, où chacun est complice de son silence et de son indifférence.
Comment peut-on imaginer que la corruption va se terminée dans notre pays et la solution est entre les sales mains du président Tebboune et le général Chengriha alors qu’ils sont déjà habitués à vivre plongés dans cette mer de pourriture, à s’enrichir et à rester impunie et ils nous ont fait craquer la tête qu’ils lutteraient contre la corruption.
Par conséquent, si vous voulez réformer un système, il doit tout d’abord couper sa relation avec les excès et la corruption, ce qui signifie que ceux qui ont causé cette corruption, comme le président Tebboune et le général Chengriha, et ceux qui y ont participé et qui en ont bénéficié, doivent être écarté.
De ce fait, ne vous laissez pas tromper par ceux qui tentent aujourd’hui en Algérie de jouer le rôle principal dans la reforme au motif que ce sont eux qui lutteront contre la corruption et qu’ils répareront les gros dommages causés par le gaspillage et la corruption, et qu’ils partagent les mêmes objectifs que le peuple, car ils ne sont, bien sûr, ni forts ni honnêtes, pendant que selon l’islam la meilleure option devant vous est de confier la responsabilité à une personne forte dans la vérité et fidèle à la confiance attribué à lui, et non à ceux qui ont accumulé leur richesse par le biais de la corruption, et donc la description du fort et de l’honnête est bien loin de la personne du président Tebboune ou du général Chengriha ou à quiconque dans le système des généraux car il n’est certainement pas possible pour ceux qui ont commis des massacres, des transgressions, qui ont participer à la démolition de nos principes, détruisant l’avenir des enfants et des jeunes et volent de l’argent public, et acceptent de se livrer à la corruption, de se basculer au jour au lendemain du mal au bien car en fin de compte, on parle selon une équation qui n’a que deux paramètres, le vrai et le faux, et il n’y a rien qu’ils aient été avec le régime de Bouteflika et se soient regrettés leurs graves erreurs parce que ça serait une très mauvaise blague de leurs parts.