La majorité des habitants algériens vivent dans des conditions horribles. Leurs simple rêve est de manger des bananes et boire du lait, oui, mais notre pays de vaste territoire est incroyablement riche en pétrole, en gaz et en Or.
Et, même les pays les plus pauvres du monde garantissent à leurs peuples le minimum pour vivre et leur fournissent de tels produits alimentaires, et leur permettent l’accès à une alimentation saine. Mais depuis que la France a donné à ses agents traitres le pouvoir en Algérie, la politique des généraux se poursuit sous le dicton populaire: « Affame ton chien, te suivra ».
C’est une métaphore de l’humiliation qui génère la dépendance et l’obéissance. Ils ont vu que le meilleur moyen de leur assurer la subordination du citoyen Algérien, c’est de l’affaiblir et le faire souffrir au quotidien sans limiter sa vision sous la pression de la faim et du besoin, pour qu’il reste toujours attaché à cette main tendue, de temps à autre, pour lui jeter des miettes.
Ce proverbe populaire qui se termine par « Engraisse ton chien, te dévorera », porte le sens que le bien-être social du peuple algérien et la réponse à ses demandes le font fluctuer dans l’aisance, ce qui le conduit, selon la croyance psychopathe des généraux à la conscience collective et faire briller à ses yeux plus de droits et ouvre les horizons devant les jeunes, ce qui présente une menace qui fait peur au pouvoir dictatorial et signifie pour eux la perte de la chaise présidentielle précieuse.
C’est l’idée qui fait trembler les genoux des généraux au pouvoir en Algérie, qui préféraient humilier le peuple pour qu’il leur reste subordonné. Cette méthode dictatoriale a peut-être été pratiqué dans le silence dans les décennies noirs où le citoyen était isolé du monde intellectuellement, culturellement et économiquement, mais aujourd’hui les espaces pour les peuples se sont ouverts et le monde est entre les mains avec un simple clic sur un appareil qui ne dépasse pas le creux de la main pour annoncer la fin de la politique de famine et d’humiliation du peuple parce que aujourd’hui avec les changements des temps, le Chien affamé ne craint pas le lion, et l’affamé ne se taira que lorsqu’on lui aura donné assez à manger.