L’approche de la méthode d’engager des poursuites judiciaires qui «créent la peur du public» contre les manifestants est une méthode héréditaire dans un régime qui ne croit pas au dialogue et utilise tous les moyens pénitentiaires existants pour arrêter les militants libres.
Ces lois sont clairement conçues pour faire taire les manifestants et écraser tout espoir d’avoir un régime civil en Algérie.
Toute forme de dissidence et de critique du régime ou de l’institution militaire a été raillée et depuis le retour des manifestations, l’État des généraux de sang a annoncé le projet de la loi La déchéance de la nationalité algérienne de tout citoyen qui s’oppose au régime, de ce fait le mouvement algérien doit bouger pour atteindre les couloirs du Conseil de Sécurité des Droits de l’Homme des Nations Unies et donner une bonne douche froide aux généraux qui ne cessent guère d’intimider et de réprimer le peuple algérien …
Récemment, les généraux mafieux ont adopté une politique d’interdiction des médias pour se protéger de la responsabilité de leurs abus de pouvoir dont il disposait, et comme chacun sait que le régime des généraux ont utilisé toutes les méthodes de violence, de l’enlèvement à la torture dans les où les détenus politiques sont régulièrement violement battus, violés et tués.
Dans un premier lieu, l’approche sécuritaire, était le prétexte du régime militaire mais après avoir reçu une forte gifle des organisations internationales de défense des droits de l’homme, il a changé le plan pour étiqueté l’Algérie de la république des enlèvements, la nouvelle méthode usée par le régime pour persécuter les opposants et les militants. Tout militant qui sort dans la rue pour réclamer son droit est kidnappé par les forces de sécurité sur la base d’opinion qu’il a exprimée. pour aller loin en essayant maintenant d’utiliser le black-out des médias où tous les journalistes ont été empêchés de couvrir les manifestations et de faire pression sur les avocats qui ont adopté la question des détenus, comme cela s’est produit contre le militant politique ; avocat Tarek Zedam Tariq Zadam, ,qui a été tué par un accident de la circulation orchestré par les renseignements Algériens, ce qui a fait perdre aux manifestations en Algérie «l’avocat du mouvement algérien».
Le régime a profité de cette situation, qui avait déjà commencé par diaboliser les forces de la révolution, pour que les généraux détiennent indéfiniment des militants résistants au régime militaire sans jugement en distribuant des peines de prison sous prétexte d’incitation à des rassemblements non autorisés et autres chefs d’accusation.
Mais poussant le bouchant encore plus loin osant à établir des lois pour retiré la nationalité des opposants et des manifestants c’est inacceptable, il faut rappeler que l’Algérie n’est plus l’héritage pour le régime militaire dictatorial, elle appartient à tous les Algériens.