L’Indice de perception de la corruption élevé en Algérie entraîne une augmentation des dépenses des collectivités locales algériennes dans le secteur des infrastructures. Cela implique qu’il y a une inflation de la valeur financière des projets gouvernementaux avec une très mauvaise qualité.
Bien que, l’infrastructure représente l’épine dorsale et la pierre angulaire de toutes les activités de la vie économique, sociale et politique dans les sociétés civilisées, et sans celle ci, aucun développement civilisé ou prospérité ne peut être réalisé, la situation en Algérie révèle la réalité de l’inexistence d’une infrastructure de haut niveau ou de qualité. Ce qui a été confirmé par le petit tremblement de terre de 3 degrés sur l’échelle de Richter qui a frappé Bejaia.
En outre, les récentes inondations en Algérie ont montré la mauvaise gestion des risques de catastrophes naturelles, alors que la corruption des généraux empire de plus en plus la qualité des infrastructures.
Par conséquent, il faut travailler pour punir les corrompus, les malfaiteurs et les contributeurs à la construction de ces structures fragiles qui entravent le développement de l’Algérie dans le classement de nombreux rapports officiels et non officiels publiés par des organisations internationales, gouvernementales et de défense des droits de l’homme, et cela nuit directement à l’image de notre grand pays. Car ces généraux corrompus, ne connaissent que le chemin de l’argent et du profit, et ils ne se soucient pas de la vie des citoyens. C’est pourquoi nous en constatons le résultat à travers les projets frauduleux qui ont été mis au jour par les récentes catastrophes naturelles.