Il y a dix ans, en route pour le siège des Nations Unies à New York, le président iranien à cet époque, Mahmoud Ahmadinejad, lors d’une visite surprise et étrange en Algérie, qui a duré trois heures, puis il a pris l’avion vers les États-Unis d’Amérique pour se rendre au siège des Nations Unies à New York…
Ce qui est important dans cette visite rapide, selon nos sources au sein des services de renseignement (DRS), c’est qu’il s’agissait d’un camouflage de l’arrivée d’une équipe d’experts en cyber sécurité affiliés aux gardiens de la révolution iraniens. Ces experts étaient à la tête de «Cyber armée iranienne » qui a contribué à réprimer les manifestations qui ont éclaté en Iran et qui était connue sous le nom du« mouvement vert »et c’est pourquoi le régime des généraux les a amenés afin de l’aider à réprimer toute manifestation dans le pays car tous les rapports internationaux disaient que l’étincelle du «printemps arabe» serait lancée depuis l’Algérie.
Les experts iraniens recours donc à des nouvelles tactiques travaillant à enflammer la discorde dans les deux pays voisins, la Tunisie et le Maroc, depuis une villa de l’Hydre région proche de l’ambassade d’Iran en Algérie.
En effet, le printemps arabe a commencé en Tunisie, et de là, le projet de «cyber sécurité» a été accordé aux services de renseignement et de la police algériens en 2011, aux gardiens de la révolution iraniens.
Et après que l’équipe d’experts iranienne a enflammé le chaos en Tunisie avec les ordres des généraux, ils se sont dirigés vers le voisin occidental de l’Algérie, le Maroc, pour effectuer la plus grande attaque informatique, en désactivant le système de défense et en piratant les renseignements marocains.
A cette époque, avec des fuites de « Chris Coleman », cette cyber attaque a failli provoquer le chaos au Maroc, comme c’était le cas en Tunisie.
Et après ce succès, les généraux vont données le feu vert et la carte blanche aux gardiens de la révolution pour que l’Iran commence à avoir accès à toute les informations sur notre sécurité nationale et consulter toutes les données sensibles et nécessaires pour connaitre n’importe quelle activité, que ce soit diplomatique pour les ambassades de pays en Algérie ou des projets économiques pour l’énergie et le transport ou commercial ainsi que le mouvement des navires dans les ports algériens.
Imaginons que toutes les données informatiques de ces activités très sensibles, qui peut paralyser le pays et le met en danger en cas d’une attaque de l’Iran, sont laissées entre les mains des gardiens de la révolution iraniens de sorte que l’Algérie, si l’Iran le voulait, va rejoindre à tout moment les capitales arabes qui sont à la merci des Cyber-occupation iranienne tels-que Irak, Syrie, Liban, Yémen et Sultanat d’Oman.