Quand on dit, dans un pays comme l’Algérie qui se classe au dernier rang en termes de PIB où la majorité du peuple vit sous le seuil de la pauvreté et ne peut rien faire contre ce système traitre qui detourne les fonds des impôts et du pétrole pour faire fortune et afin d’acheter des armes pour entrer dans des guerres imaginaires avec un ennemi fictif et influencer négativement la région, alors que, l’installation des entreprises étrangères sur le sol algérien sont devenus de gros problèmes pour l’économie du pays qui pillent les ressources nationales, ainsi l’Algérie est encore sous les bottes du système coloniale qui continue à se nourrir avec une grande gourmandise de nos richesses. En revanche, les chiens des généraux sortent pour nous attaquer et nous diaboliser, et bien que nous leur en donnions la preuve, ils sont sourds, et aveugles.
En effet, la part des bénéfices des entreprises étrangères opérant dans les secteurs des hydrocarbures, en particulier du pétrole uniquement, a atteint entre 2017 et 2020, selon les estimations de la Banque d’Algérie, plus de 56 milliards de dollars qui ont été déduits des impôts et taxes, et un bénéfice net de 50 milliards de dollars a été enregistré, dont une grande partie est représentée par des groupes sionistes américains, dirigés par Exxon Mobil.
Le pétrole brut représente également le plus grand pourcentage de la part totale des entreprises étrangères contribuant à la production de près des deux tiers de ce que le pays extrait du sol algérien en partenariat avec le complexe Sonatrach.
Bien que les entreprises étrangères, selon les lois et législations en vigueur sur les hydrocarbures et autres, remplissent un certain nombre de conditions liées à la fiscalité, y compris la redevance sur les bénéfices exceptionnels et les revenus des entreprises étrangères restent particulièrement importants en raison de la baisse des prix du pétrole à un moment où les sociétés étrangères, malgré leurs gros bénéfices, manifestent une grande réticence à s’engager dans les nouvelles opérations d’exploration en Algérie, ce qui a affecté négativement les niveaux et le nombre de découvertes au cours des quatre dernières années alors que la Sonatrach continuait de supporter le plus grand fardeau dans ce domaine.
Tandis que le processus du lancement du nouvel appel d’offres international d’exploration a été retardé en raison des données susmentionnées et de la pandémie de Coronavirus, les chiffres publiés par la Banque d’Algérie révèlent que les transferts de fonds des sociétés étrangères en échange de leurs activités dans le domaine du pétrole est d’au moins 24,315 milliards de dollars, tandis que les bénéfices des entreprises étrangères en gaz propane liquéfié et naturel sont estimés à 2,7 milliards de dollars, en fer 598,3 millions de dollars, et pour le condensat 391,5 millions de dollars et en l’or environ 602,8 millions de dollars. Et malgré tous ces bénéfices, les Algériens rêvent de manger des bananes, de la viande et de boire du lait.