Alors qu’il y a plusieurs questions sur les circonstances et les causes de l’assistanat du président du Tchad Idriss Déby, nos sources révèlent qu’un drone armé français de type « Reaper » a décollé de l’aéroport militaire de Djanet à l’extrême sud-est de l’Algérie à en environ 1 800 km d’Alger vers le nord du Tchad, en passant par le territoire libyen. Cela est arrivé en parallèle avec la visite du ministre des Affaires étrangères Sabri Boukadoum à la Libye afin d’éliminer le président Idriss Déby après avoir reçus des renseignements sur sa localisation. Déby avait conclu d’importants accords confidentiels militaires et économiques avec la Chine et la Turquie, ce qui a mis en colère la France et a décidé de se débarrasser de lui peu de temps après ces accords…
Cet incident a révélé la coopération discrète et en cachette des généraux avec la France et leur soumission absolu à son colonisateur qui leur a ordonné l’obéissance.
En effet, le chef d’état-major des armées françaises a ordonné le général Chengriha à semer le chaos dans les pays du Sahel notamment au Tchad, au Niger et au Mali en ouvrant la région aérienne nationale de l’Algérie et en la mettant à la disposition des avions de combat français sans conditions, afin de confirmer par là la dissimulation du régime des généraux embourbés dans l’esclavage et la subordination à la France au point d’échanger les intérêts de l’État et d’hypothéquer sa souveraineté d’une manière même contraire à la constitution du pays qui interdit toute ingérence par l’Algérie dans les affaires étatiques , et dégageant son espace aérien aux avions étrangers attaquant des pays frères.
En outre, il n’est pas étrange qu’on trouvent, comme d’habitude, ceux qui améliorent le jeu de quadrillage du cercle en justifiant l’absurdité, par des porte-paroles informels qui expliquent que l’Algérie n’a pas le choix d’autoriser les avions français à utiliser son espace aérien pour tuer des musulmans au Tchad, Niger et Mali, dans le cadre de l’engagement de l’Algérie dans la campagne internationale de lutte contre le terrorisme.
Le meurtre du président du Tchad est-elle une novelle stratégie de la lutte contre le terrorisme? L’assassinat de chefs tribaux au Mali est-il inclus dans la lutte contre le terrorisme au sahel? Le bombardement de villages et le vol du bétail des paysans nigérians pauvres et leur contrebande vers l’Algérie peut – on les considéré des enjeux politiques pour la lutte contre le terrorisme?
Ce n’est plus un secret ni une surprise que la France avait mis l’Algérie, par l’intermédiaire de ses stupides généraux, dans un véritable dilemme et l’avait conduite dans le mur par une guerre d’ignorance, en plongeant le pays dans la lutte contre ses frères musulmans et la participation à créer les guerres, ce qui a entraîné de grandes conséquences et des dangers qui ne sont ni les premiers ni les derniers au Niger et au Tchad.
De ce fait nous rejetons tous les politiques adoptés par ce système corrompu et de despotisme, qui encouragent l’utilisation ouverte du pouvoir colonial.