Le dictateur sanguinaire, le général Saïd Chengriha a adopté un plan maléfique pour tout détruire systématiquement et continuellement en l’Algérie après s’être débarrassé de son rival, le général Gaïd Saleh, créant ainsi un vide politique.
Dans un effort pour légitimer l’existence des généraux par la falsification méthodologique, il a plongée le pays dans un cycle d’instabilité et d’effondrement économique, social et politique afin de détourner l’attention du peuple algérien.
Avec son plan « d’affaiblir ou détruire », il vise la démolition complète de l’État Algérien.
En effet, le trésor de l’Etat est en faillite, les affaires sont presque à point mort, et le secteur des hydrocarbures souffre de paralysie. Les seules secteurs opérationnel dans ce malheureux pays est l’armée, les forces de sécurité, le service du renseignement et les voyous des généraux…
À cause du fou criminel général Chengriha, les Algériens ont subi la terreur, les abus les plus graves de leur histoire moderne dans le domaine des droits de l’homme, et les quartiers populaires en Algérie sont devenus plus violents et plus plus dangereux.
En outre, le gouvernement de Tebboune a reçu l’ordre de pratiquer la répression pour provoquer une escalade de violence politique, alors que le rythme des arrestations en Algérie a dépassé les pires années de plomb. Au moins 3 000 Algériens ont été arrêtés lors des manifestations et les prisons regorgent de prisonniers d’opinion qui subissent des tortures à grande échelle.
Ici, de nombreux militants s’accordent à dire que depuis la décennie noire l’Algérie n’a pas connu de régime plus répressifd que le régime actuel. Toutes les preuves et indicateurs montrent que l’Algérie n’est pas aller dans le sens du calme, mais vers de plus en plus de chaos et de plus en plus de violence et d’arrestations arbitraires en absence d’une stratégie économique, politique et des droits de l’homme qui remplace la répression brutale, car la poursuite du cycle de protestation, de répression et de vengeance représente un résultat plus probable que la réalisation de la stabilité en présence du dictateur Chengriha au pouvoir, qui veut que l’armée algérienne entre en guerre, avant sa mort, dans des opérations suicidaires, que ce soit au Mali, en Libye ou contre le Maroc.