Face à la conjoncture économique défavorable, certains experts de rapports internationaux et d’études locales ont souligné leurs craintes et à quel point l’économie algérienne est toujours dépendante des revenus pétroliers, principale cause de la crise actuelle. D’ici 2030, il ne pourra plus respecter ses engagements d’exportation de pétrole et de gaz, et prévient que les ressources algériennes vont commencer à diminuer et il y aura un gros problème de sécurité énergétique.
En conséquence, ils ont observé que le pays est confronté à divers obstacles pour reconstruire le cadre économique endommagé par l’épidémie du Coronavirus et la baisse des exportations d’hydrocarbures et avertissant qu’elles commencent à reculer, suite à l’épuisement du gaz et du pétrole en Algérie, cela renforce les inquiétudes que l’Algérie soit confrontée à un problème majeur de sécurité énergétique dans les années à venir. Et se fier entièrement aux revenus du pétrole comme principale source de l’économie et du financement du développement était un suicide économique et peut-être un saut dans l’inconnu. Alors que, certains pays développés se précipitent pour trouver de nouvelles sources d’énergie, c’est pourquoi le peuple algérien s’est révolté et les généraux n’ont répondu à aucune demande fondamentale et n’ont pris que des décisions officielles de « simple transformation et changement de peau ».
Les généraux, les traîtres affiliés à la France, ont ignoré qu’aujourd’hui c’est l’âge de la victoire du peuple, pas l’âge des généraux et l’intimidation des citoyens avec terreur.
L’Algérie a aujourd’hui besoin d’un changement politique complet et d’une relance économique. Cependant, la perspective d’une plus grande stabilité interne dépend encore de la capacité du pays à lutter contre la corruption avec une enquête approfondie sur les détournements des fonds que le pays a connues, dont la première est l’affaire de 1 000 milliards de dollars, puis nous adoptons le processus de rajeunissement des responsables, en se débarrassant des vieux visages et injectant du sang neuf pour établir un Etat d’institutions démocratique.