Les généraux apprécient tout en Algérie, sauf la vie de son peuple

La politique qui exclut le citoyen pratiquée par les généraux fait que les gens se sentent insignifiants et sans valeur dans leur pays
A cause de la pénurie des denrées alimentaires, tout est cher en Algérie sauf la vie des citoyens. Pourquoi ils détestent tant leur peuple, l’ont fait souffrir et l’ont laissé mourir ?
Sous le règne des généraux, la mort n’est plus un choc pour les Algériens, le vrai choc aujourd’hui c’est de trouver de la nourriture sur les marchés, il est désormais plus difficile d’acheter de la nourriture.
Globalement, la hausse des prix s’est renforcée au cours des derniers mois, conjuguée à la rapidité de la hausse, ce qui inquiète les Algériens.
Il y a eu une augmentation sans précédent des prix des produits alimentaires -comme, l’huile, le lait, la farine, le sucre, les légumes et la viande sous toutes ses formes rouges et blanches.
On se réveille et on dort aux nouvelles des accidents mortels, des femmes violées ou tuées des jeunes noyées dans la mer des vieilles écrasées sous les pieds à cause de la surpopulation dans les files d’attentes. A ce point la vie de l’Algérien est devenue sans valeur ?
Et pourquoi le droit à la vie est-il devenu pour beaucoup d’entre eux des mots dénués de sens, et ce qui est pire, c’est que tout le monde attache des erreurs humaines à la condamnation du destin sans responsabilité ni contrôle.
Mais plutôt le mot « destin » est devenu une justification pour les coupables et les criminels pour rester libres et s’échapper de la justice.
Peut-être l’une des points noirs dans lesquelles les Algériens meurent restes les routes en raison de l’augmentation des décès dans les accidents de la circulation qui sont devenus un véritable cauchemar.
Malgré la sonnette d’alarme, l’Algérie connaît chaque jour 100 accidents avec une moyenne de 20 morts et 223 blessés, pour la plupart des jeunes imprudents inconscients de leurs actes et qui risquent leur vie. Le crime fait aussi des centaines de morts chaque jour, pas un jour ne passe sans être enregistré ou poignardé avec un couteau.
La violence est devenu le seul langage entre les citoyens en raison de la dépression, la pauvreté, la croissance démographique qui a accompagné la société, sachant que les chiffres montrent que 42 crimes sont commis chaque heure, soit une moyenne de 1 000 crimes par jour, pour tout cela on se demande pourquoi les généraux en Algérie ont rendu tout cher, sauf la vie du citoyen. ??!