Dans notre pays, la situation sécuritaire et militaire, après avoir été précédée par une crise économique et sociale, a atteint un niveau critique de dégradation, de révolte et d’épuisement, plongeant l’armée algérienne dans une situation complexe marquée par une vague croissante de désertions de soldats et de militaires, d’abandon des rangs, de désobéissance et de fuite vers l’Espagne par le biais de l’immigration clandestine à bord d’embarcations. Des sources fiables rapportées à « notre site » indiquent que des dizaines de soldats et de militaires des sixième et troisième régions militaires ont annoncé leur rébellion et leur désertion des rangs de l’armée du général Chengriha, en raison de l’injustice et de la faim, fuyant vers l’Espagne à la recherche d’un refuge sûr pour échapper à la répression et à l’oppression de leurs officiers supérieurs. Cette situation a conduit l’armée algérienne à une crise grave due à une hémorragie aiguë au sein de ses bases militaires.
Les sources précisent que des militaires de différents grades ont désobéi à leur armée, abandonné leurs armes et perdu tout enthousiasme pour la guerre que le général Chengriha, dirigeant du pays, envisage de déclencher contre le Mali ou le Maroc. Cela a exacerbé le climat de tension et d’impatience, entraînant une augmentation quotidienne et significative du rythme des désertions parmi les soldats et officiers algériens, d’autant plus que ceux-ci ne croient plus en ce qu’on appelle « la force de frappe ». Nos sources confirment que les soldats et militaires déserteurs, ayant abandonné leur uniforme, considèrent que leur armée est désormais soumise à un groupe de généraux criminels qui s’adonnent au meurtre et à la maltraitance des Algériens et des migrants africains, ce qui les a poussés à déclarer leur désertion et à fuir vers l’Espagne. Cette longue liste de déserteurs inclut également des officiers de haut rang. Outre leur conviction de l’inutilité de la guerre de l’Algérie dans le nord du Mali et le Sahara occidental, nos sources soulignent que la situation sociale des soldats algériens est devenue extrêmement difficile, leurs salaires étant suspendus depuis des mois. Ce facteur a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de la colère et du mécontentement, les poussant à déclarer leur désobéissance et à déserter les rangs de leur armée, d’autant plus que l’espoir d’une amélioration des conditions de vie est devenu illusoire en Algérie, où la situation économique, sociale et politique est au bord de l’effondrement. Cette crise est aggravée par l’incapacité du gouvernement à payer les salaires et les soldes des militaires. Dans ce contexte, les mêmes sources affirment que de nombreux soldats et militaires rebelles se sont dirigés vers la Libye, où ils ont été arrêtés par les forces du général Khalifa Haftar, qui refuse de les extrader vers les autorités algériennes, dans un geste humanitaire envers leurs frères soldats algériens fuyant l’enfer de la faim, de l’oppression et du despotisme. Ces derniers risquent certainement la peine de mort par fusillade, à l’instar de ceux qui les ont précédés dans leur révolte contre les généraux algériens qui les soumettent à une forme d’esclavage.
