La police judiciaire de la sécurité de la wilaya de Béjaïa a récemment arrêté un fonctionnaire public âgé de 35 ans, impliqué dans des affaires d’escroquerie, de fraude et d’abus de sa fonction pour satisfaire ses désirs sexuels. Il attirait ses victimes, des femmes de tous âges, mineures et veuves, dans un appartement près de la Société des Eaux d’Algérie où il travaillait, les séduisait et abusait d’elles. Il promettait de ne pas exiger le paiement des factures ou de fournir de l’eau potable de manière exceptionnelle, voire de leur offrir des cadeaux précieux. Parfois, il leur promettait également de leur trouver un emploi au sein de la même entreprise. Le nombre de ses victimes s’élevait à des centaines de femmes.
Après que les clients ont payé leurs factures en souffrance, ils étaient surpris de constater que le même montant était indiqué dans la prochaine facture, comme des dettes impayées précédentes, qu’ils devaient régler ou risquer une coupure d’eau. Il informait ses victimes féminines qu’il tolérerait les factures impayées en échange de la satisfaction de ses désirs et fantasmes sexuels déviants, les contraignant à satisfaire ses pulsions lubriques en échange de l’eau. Après avoir répété ce processus avec de nombreuses victimes, qui ont ensuite déposé des plaintes au poste de police, l’employé en question a été convoqué et un dossier pénal a été établi contre lui. Il a été présenté aux autorités judiciaires compétentes, où il a été placé en détention provisoire.
Cependant, de manière surprenante, le dossier a été étrangement clos et le criminel a été libéré après une courte période de détention, ne dépassant pas 24 heures.
Selon des sources fiables, il forçait ses victimes à avoir des relations sexuelles avec un haut responsable de la sécurité, un général à la retraite âgé, qui prenait plaisir à avoir des rapports sexuels avec les femmes algériennes en échange de leur fournir de l’eau, un droit légal garanti par la loi locale et internationale pour chaque citoyen. Cependant, à une époque de mauvaise gouvernance, l’honneur des Algériennes est vendu contre quelques gouttes d’eau ou pour quelques pommes de terre et bananes. Les généraux nous donnent notre subsistance, nos richesses et nos droits en échange de nos dignités et de notre honneur.
En fin de compte, on voit une jeune femme dans le cortège présidentiel républicain qui se réjouit et crie « Vive Chengriha et Tebboune, quelle farce ! »