De nombreux activistes et économistes tirent la sonnette d’alarme contre le gouvernement dirigé par l’incompétent Tebboune, qui semble s’engager sur la voie des États défaillants en ayant recours à l’impression massive de monnaie. Cette mesure désastreuse menace de plonger le pays dans une crise économique sans précédent. Des sources indiquent que le général Chengriha, véritable maître du pays, a exigé cette frénésie monétaire pour dissimuler la corruption rampante de sa famille, en particulier de ses filles, qui se sont procuré des appartements de luxe à Dubaï, Londres et New York pour des millions de dollars. Parallèlement, les généraux proches de lui se sont emparés des revenus du pétrole et du gaz, détournant des millions de dollars vers les paradis fiscaux de Panama.
Des experts internationaux ont supplié le gouvernement d’abandonner immédiatement cette politique ruineuse pour éviter de reproduire les catastrophes économiques du Liban, du Venezuela et de la Yougoslavie, des pays qui ont été dévastés par une hyperinflation due à une dette intérieure écrasante et à une impression de monnaie incontrôlée. Ils exhortent le bouffon Tebboune, ainsi que le gouverneur de la Banque d’Algérie et le ministre des Finances, à assumer leurs responsabilités. Selon les experts, suite aux ordres du général Chengriha, l’impression de monnaie a déjà atteint un montant effarant de 85 milliards de dollars, un chiffre qui augure d’une explosion incontrôlée de l’inflation, menaçant de plonger l’Algérie et son trésor public dans une décennie de difficultés économiques.
Les experts avertissent que cette situation entraînera un bouleversement catastrophique de la politique financière algérienne, et appellent les responsables financiers à stopper immédiatement cette imprudence monétaire. Les chiffres actuels de l’impression de monnaie ont dépassé toutes les prévisions et franchi les lignes rouges, mettant les Algériens en grand péril. Ils dénoncent les solutions faciles et irresponsables choisies par le gouvernement, qui, même si elles n’ont pas encore manifesté tous leurs effets néfastes, reposent dangereusement sur les économies informelles des Algériens, représentant 47% de la masse monétaire.
Les experts lancent un cri d’alarme, affirmant que l’Algérie, par sa politique d’impression de monnaie, se rapproche dangereusement du sort économique du Liban, du Venezuela et de la Yougoslavie. Avec 85 milliards de dollars déjà imprimés, le pays n’est plus qu’à un pas de la catastrophe. Ils soulignent que ce montant colossal équivaut presque au PIB du pays, signalant des risques énormes, surtout que cette masse monétaire imprimée n’a aucun équivalent dans le trésor, rendant impossible son remboursement comme dette intérieure. Les conséquences en seront désastreuses, avec au minimum une nouvelle décennie noire en perspective.