Il est bien connu que l’odeur de l’argent du pétrole et du gaz algérien est puissante d’une manière suspecte. Alors que le régime des généraux maléfiques mise sur une campagne publicitaire pour promouvoir le tourisme dans le pays, leur méchanceté les pousse à prouver à tous que leur seule préoccupation est d’atteindre le niveau des pays arabes voisins en les attaquant dans cette campagne bon marché. Le journaliste britannique, dont le journal a été payé par notre trésor (accessible à tous sauf au peuple trompé), pour embellir l’image d’un régime hideux méprisé par tous, a titré son article comme suit : « Le pays d’Afrique du Nord à visiter aujourd’hui avant de devenir comme les pays voisins », ce qui démontre le degré de vilenie et de bassesse atteint par le journal britannique qui se justifie en publiant un article truffé de venin et de haine.
Le journaliste à la solde a révélé, sans le savoir, que notre régime militaire fasciste nous a confié deux missions : embellir notre pays en ruine et attaquer les pays voisins (Égypte, Tunisie, Maroc). L’article a également révélé l’ampleur de la haine qui habite les cœurs des « généraux maléfiques », qui ne voient de succès pour notre pays que dans le fait de frapper les pays frères dont la prospérité touristique et économique leur fait mal et les avertisse que ces pays resteront une épine dans leur gorge et un cauchemar pour leurs rêves. « Richard Collett » s’est surpassé dans la diarrhée verbale de l’argent du peuple trompé, car rien dans le reportage ne mentionne le tourisme des trois pays arabes. Alors que notre pays se trouve entre la Tunisie et le Maroc, en plus de l’Égypte, comme des pôles centraux attirants pour les touristes, le titre malveillant vise à satisfaire les généraux impuissants et à déformer notre réalité sombre et à colorer notre vie misérable d’une manière qui fait que le régime de la mafia dépense l’argent du peuple trompé sur lui-même et sur son journal sale. Les généraux chez nous achètent tout avec l’argent du peuple trompé sauf ce qui profite aux citoyens, car ils ne trouvent pas suffisamment de liquidités pour dépenser pour les intérêts du peuple.