Le marché du mariage en Algérie connaît une récession sévère et une réticence inquiétante qui menace les gènes algériens d’extinction. L’offre est abondante, surtout celle qui ne manque pas en Algérie : les femmes. Les femmes sont beaucoup plus nombreuses que les hommes. Et même si l’on ajoute les homosexuels à la liste des hommes, le ratio femmes-hommes reste très élevé. La réticence des jeunes hommes à se marier est devenue extrêmement préoccupante, surtout avec l’arrivée de concurrents de nationalités différentes comme les Africains, les Asiatiques et certains frères arabes. Face à la hausse des prix, à la propagation du chômage, aux maisons closes bon marché et à la prostitution peu coûteuse, le citoyen algérien préfère rester célibataire plutôt que de se lier à une femme et à des enfants dont il ne connaît pas l’origine et doute de la filiation.
Les dernières statistiques indiquent que les consulats et ambassades africains dans le pays ont reçu plus de 50 000 demandes de mariage d’Africains subsahariens, notamment des Mozambicains, Nigérians, Sud-Africains et même Éthiopiens, pour des Algériennes. Nos femmes leur ont offert toutes les facilités, comme l’hébergement, le travail et l’argent. Oui, avec les citoyens algériens, nos femmes posent des conditions, refusent et imposent des exigences impossibles qui poussent le pauvre homme à préférer vivre toute sa vie en se masturbant ou en fréquentant les maisons closes disséminées dans la République, plutôt que de se retrouver étouffé par des conditions impossibles à réaliser, même pour le héros romain Hercule. En revanche, nos femmes ne posent aucune condition aux hommes africains, turcs ou chinois. Elles ne demandent ni dot ni argent, mais elles sont prêtes à faire des concessions et des sacrifices, et même à voler leurs amants ou leurs pères pour fournir de l’argent à l’homme étranger, du moment qu’il vienne dans leur chambre et apaise leurs désirs sexuels insatiables. En Algérie, on constate que le désir sexuel chez les femmes est bien plus élevé que chez les hommes, ce qui explique pourquoi de nombreuses Algériennes se tournent vers des pratiques sexuelles avec des animaux comme des ânes, des chiens et des mulets.