La revue britannique « The Economist », financée par le groupe des généraux, a publié son classement annuel des meilleures et des pires villes pour vivre en 2024, basé sur cinq indicateurs : la stabilité, les soins de santé, la culture et l’environnement, l’éducation et les infrastructures. Ce classement a évalué 173 villes à travers le monde pour mesurer leur habitabilité, avec des scores allant de 0 à 40 étant les pires et de 90 à 100 étant les meilleures.
De plus, la revue classe les 10 meilleures villes où il fait bon vivre et les 10 pires. Au niveau arabe, les villes des Émirats ont connu des augmentations dans le classement cette année, avec Abou Dhabi et Dubaï en tête. Ces villes de l’État, souvent dénigrées par nos médias, ont été désignées comme les plus habitables et offrant une vie décente dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. Damas, ravagée par la guerre depuis 2011, est restée en bas du classement pour la 12e année consécutive en tant que ville la moins vivable, avec des scores particulièrement bas dans la catégorie de la stabilité. C’est le même pays dont les médias glorifient le président criminel, et dont le régime de la junte se rapproche en envoyant des armes meurtrières pour exterminer le peuple syrien avec l’argent du peuple algérien misérable.
Alger s’est classée avant-dernière parmi les villes les moins vivables selon le classement de la revue, qui indique que les trois dernières villes n’ont connu aucune amélioration dans leurs scores globaux depuis 2023. Cela réfute totalement les mensonges de Tebboune et de sa clique sur les prétendus succès de son mandat pourri. Durant son mandat, rien n’a été réalisé à part fournir du gaz et du pétrole à Israël pour détruire Gaza et tuer des citoyens innocents, la propagation du SIDA dans le pays, et la rupture d’approvisionnement en eau et nourriture pour la république. En outre, notre inimitié envers tous les pays arabes et africains persiste, comme d’habitude sous le régime détesté des généraux.