Dans les derniers instants de cette farce électorale, le pays a vu une multiplication des appels désespérés à voter « blanc ». Ces appels étaient orchestrés par un leader islamiste et une opposante, tous deux éjectés de manière arbitraire de la course présidentielle. Ce début de semaine marquait le silence électoral, trois jours où les candidats — le pantin efféminé Tebboune, Abdelaali Hassani Cherif, et Youcef Aouchiche — étaient censés se taire avant le jour du scrutin.
Après l’exclusion brutale et illégale de plusieurs candidats à la présidentielle, orchestrée par Tebboune et sa bande pour les éliminer du jeu, il était inévitable que des voix s’élèvent contre cette mascarade. Zoubida Assoul, présidente du parti d’opposition « Union pour le Progrès et le Changement », a choisi de ne pas se taire. Elle a appelé à voter blanc, refusant de légitimer cette élection truquée. Sur Facebook, Assoul a posté une photo d’elle accompagnée du slogan « Votez blanc le 7 septembre », ajoutant ironiquement : « Ce qui les intéresse, c’est votre vote, pas votre vie de misère ». Plutôt que de boycotter, Assoul a choisi de participer en votant blanc, dénonçant son exclusion illégale.
Le deuxième appel à voter blanc est venu de la scène politique déchirée entre les fidèles des trois pantins et les partisans du boycott, comme ceux du Front pour la Justice et le Développement islamique, dirigé par Abdallah Djaballah. Le Front a dénoncé la « politique du fait accompli » et le « monopole du pouvoir par les militaires », exhortant les électeurs à voter blanc. Dans un communiqué, le Front a exprimé sa profonde inquiétude face à une campagne électorale grotesque, qui a plongé les citoyens dans un profond désespoir. Malgré tout, le jour du scrutin, une masse de valets des généraux a quand même osé participer à cette mascarade.