Le déviant Tebboune, qui ne pourrait même pas tromper un enfant ordinaire des autres pays du monde, même pour plaisanter, a pourtant réussi, avec sa stupidité excessive, sa futilité habituelle et son sourire niais, à noyer le peuple algérien misérable sous des promesses mensongères, des succès imaginaires, des réalisations illusoires, à falsifier toutes les vérités et à truquer toute l’histoire mondiale et locale. Plus particulièrement, il a réussi à affamer les citoyens, à appauvrir le peuple et à les rendre les plus humiliés de la région. Les jeunes meurent sur les côtes européennes et les jeunes filles se prostituent et vendent leur honneur dans les pays du Golfe.
Le dépravé Tebboune est le seul président au monde qui ne fait aucun effort pour satisfaire les citoyens, ne se fatigue pas et ne transpire pas en tentant de les convaincre ; il leur vend simplement des illusions, des rêves, et leur fait croire à des réussites fantastiques qui n’ont aucun rapport avec la réalité. En retour, il trouve une acceptation et une crédulité de la part des citoyens misérables. Pire encore, il y a dans ce peuple opprimé ceux qui se prosternent devant l’image de Tebboune en disant littéralement : « Je meurs et que vive mon oncle Tebboune », et d’autres qui affirment : « Tebboune est le prophète de la fin des temps. » Une femme a même déclaré qu’elle s’offrait à Tebboune, qu’elle était prête à quitter son mari et ses enfants pour vivre avec lui, même comme servante ou esclave à ses pieds bénis.
Oui, cher citoyen misérable, et ce qui est caché est encore pire. Ici, une question très importante me vient à l’esprit : quel est l’intérêt d’une opposition interne ou externe si la plupart du peuple opprimé vénère Tebboune et sa clique de manière hystérique, leur offrant des rituels d’allégeance et d’obéissance à tout moment ? Quelle est l’utilité de ces élections truquées et de cette farce ridicule si la majorité du peuple misérable a pris l’habitude de lécher les bottes de la clique et de se soumettre à l’armée ? Il vaudrait mieux, pour nous, opposants à l’injustice et à la tyrannie, de quitter l’Algérie, de la laisser à son berger et à son troupeau, et de chercher une nouvelle patrie.