Le monde réagit de manière partagée et enregistrée à l’annonce de l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, conclu sous la médiation du Qatar. Ce cessez-le-feu, annoncé le 15 janvier 2025, marque un tournant dans la guerre qui fait rage à Gaza, avec des milliers de vies perdues et des souffrances humaines extrêmes des deux côtés. Les pays des réactions et des organisations varient, mais elles convergent toutes sur l’importance de mettre fin à la violence et d’apporter une aide humanitaire aux populations affectées.
Le président américain Joe Biden a salué l’accord comme une avancée cruciale, précisant que les combats à Gaza cesseraient et que les otages israéliens et palestiniens seraient libérés. Biden a également souligné l’importance de cessez-le-feu pour stabiliser la situation et offrir une chance d
De son côté, l’ex-président américain Donald Trump a exprimé sa satisfaction concernant la libération des otages, tout en réaffirmant sa position contre le terrorisme et son soutien à Israël pour éviter que Gaza devienne un havre de sécurité pour les groupes armés.
L’ONU, par la voix de son secrétaire général Antonio Guterres, a exprimé son soutien à l’accord et a insisté sur la nécessité d’intensifier l’aide humanitaire pour les Palestiniens, qui continuent de souffrir de conditions de vie insoutenables. Le Qatar, en tant que médiateur de la trêve, a réitéré son appel au calme dans la b
Des dirigeants européens tels qu’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ont salué l’accord en mettant l’accent sur l’importance de permettre le cheminement d’aide humanitaire aux civils de Gaza. Elle a également souligné que cet accord pourrait être une étape vers une stabilité durable dans la région.
Le président égyptien Abdel Fattah el-Sisi a également soutenu l’accord, appelant à la fourniture rapide d’aide humanitaire pour soulager la souffrance des habitants de Gaza. Il a réaffirmé l’e
Des voix palestiniennes ont réagi positivement, espérant que cet accord marquerait la fin de la violence et le début d’un processus politique qui pourrait conduire à une solution juste et durable. Cependant, des inquiétudes subsistent concernant la mise en œuvre de cet accord et les défis liés à la stabilité régionale à long terme.
Les dirigeants internationaux, tels que le Premier ministre britannique Keir Starmer et le ministre norvégien des Affaires étrangères Jonas Gahr Stoere, ont exprimé leur espoir que cet accord de cessez-le-feu ouvre la voie aux négociations de paix.