Contrairement à ce qui est diffusé par les réseaux d’assainissement des généraux, des organisations internationales indépendantes ont déclaré que la corruption en Algérie s’était récemment aggravée de manière significative. Le problème est que la corruption des généraux engloutit la plupart des budgets et des revenus de l’Etat est devenue incurable comme un cancer à la dernière phase.
Aujourd’hui, la corruption au sein du gouvernement s’est transformée en un dragon qui dévore le peuple et les richesses. En effet, le palais présidentiel a tout monopolisé et même les achats nationaux. Bien que, l’abus de la fonction publique à des fins personnelles érode la confiance du public dans le gouvernement et les institutions. Connue comme l’un des plus grands pays de corruption au monde, l’Algérie est tombée aux derniers rangs du classement du développement économique.
En outre, la corruption déforme également les priorités de l’État, mine la capacité du gouvernement à contribuer à la croissance de l’économie afin que tous les citoyens en bénéficient. Il s’agit de détourner l’argent destinés à l’origine aux écoles, aux autoroutes et aux hôpitaux etc.…
En même temps, la corruption empêche les citoyens de profiter pleinement de la richesse créée par les ressources naturelles de leur pays, comme l’exploration des gisements de pétrole et de minéraux qui génèrent d’énormes profits.
La diffusion de la culture rentière a conduit à la propagation du phénomène de corruption à travers les organes de l’État, dans les entreprises publiques, telles que certaines sociétés pétrolières nationales, et dans les services publics.
En fait les règlements de compte entre les généraux voleurs ont contribué à la divulgation d’énormes affaires de corruption, notamment le soi-disant «scandale du siècle» dans lequel étaient impliqués le général Toufik et le milliardaire Rafik Khalifa, qui ont pu en quelques années monté avec une grande puissance, le groupe Al-Khalifa, qui englobe une grande banque et une compagnie aérienne. Après l’affaire Al-Khalifa, il ya celle de l’autoroute Est-Ouest dans lequel le général assassiné Gaid Saleh était impliqué par le biais des sociétés d’approvisionnement appartenant à ses fils. Et ce n’est pas finit, l’affaire de l’autoroute Est-Ouest, l’un des plus grands projets d’infrastructure du pays pour lequel il a été initialement alloué, environ 6 milliards de dollars, mais le projet a consommé plus de 17 milliards de dollars détourné pour remplir les poches de nos généraux. Sans omis, le scandale de corruption de Sonatrach, l’une des plus grandes sociétés pétrolières au monde, et qui assure plus de 98% des revenus de devises fortes de l’Algérie.