En Algérie, les chiens ont une longue histoire politique depuis l’époque de Boumediène jusqu’à nos jours, notamment sous le règne du général dictateur Chengriha. Ils sont utilisés pour garder des généraux despotiques qui ont peur de la colère du peuple. Par conséquent, la corruption dans la politique en Algérie est le résultat d’une bande de chiens de bénéficiaires et d’humiliés, et cela est clairement évident chez les candidats qui veulent succéder le président fantoche Tebboune, qui souffre d’une maladie chronique, surtout les chiens préférés de Saïd Chengriha, Abderrazak Makri et Abdelkader Bengrina…
Les chiens du système des généraux sont un système intégré qui détruit tout et sème la discorde et l’agitation au sein de la société. Ils pratiquent les crimes les plus graves contre le peuple et répandent la corruption.
Les chiens du système des généraux n’ont ni conscience ni morale, et rien ne leur importe sauf de satisfaire leurs besoins et intérêts personnels et de s’efforcer par tous les moyens et méthodes d’atteindre leur objectifs et rien d’autre.
En effet, celui qui vénérais et défendais Gaid Saleh est celui qui protège la corruption, et ce sont eux qui se taisent de dire la vérité et qui sont possédés par la peur de la tyrannie du général Chengriha.
Pour Abderrazak Makri et Abdelkader Bengrina et les chiens du régime des généraux sont un groupe de profiteurs et de bénéficiaires de la corruption des généraux, car ils font tout leur possible pour leur bénéfice personnel et la meilleures preuves est que toute les sorties médiatique d’Abderrazak Makri et Abdelkader Bengrina Maqri et Bin Qurainah, pour la sanctification des généraux.