Alors que l’Algérie subit toutes sortes de malheurs, des problèmes qui s’aggravent, une escalade des conflits politiques, des violations des droits de l’homme et une crise économique majeure plus la crise énergétique et la tragédie actuelle des coupures répétitives du courant électrique et pénuries d’eau dans un pays où la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté et des dizaines de millions vivent dans des bidonvilles et ne manque guère de richesse.
Dans telles circonstances, l’actualité la plus importante et la question qui préoccupe l’opinion publique est que le téléphone de l’homosexuel le général Chengriha a été espionné, et l’affaire a occupé les manchettes de tous les journaux nationaux, et toutes les chaînes satellitaires de télévision nationales en parlent avec la couverture médiatique en continue sur ce qui se passe.
L’un des serviteurs de l’émir du Qatar, Hafid Derradji, puisqu’il est un traître, il sort pour mener le peuple algérien à la guerre contre le Maroc et ouvrir les portes de l’enfer, tout en dictant que nous devons être d’un seul tenant avec les fils des soldats de la France qui ont tué un demi-million d’Algériens dans la décennie noire.
Dans toute cette atmosphère, il faut se rendre compte qu’il y a un désastre et un complot qui se passe contre ce pauvre peuple pour le tenir à l’écart à propos de ses vrais enjeux et reste plongé dans l’insignifiance et l’absentéisme, et ici les spécialistes des études d’opinion disent que des partis comme l’agent des généraux Hafid Derradji, qui cherchent à orienter l’opinion publique algérienne et à la distraire de ses vrais problèmes, pratiquent une stratégie (détourner l’attention du public) en créant un sujet scandaleux; pour faire passer l’opinion publique des questions qui la préoccupaient, à savoir la nécessité du renversement de ce régime autoritaire, à une autre question qui détourne son attention dans le direction que les généraux manipulateurs d’esprit veulent.
À cet égard, le célèbre penseur américain Noam Chomsky dit (l’autorité n’est pas satisfaite sans un contrôle complet sur les tendances des masses, et si ce contrôle est garanti par une absence continue, il n’y a aucune importance pour l’opinion publique que les régimes manipulent à leur guise dans le sens de leurs intérêts et pour cacher leur échec) et c’est exactement ce que fait le chien de l’émir du Qatar, Hafid Derradji.