Comme d’habitude, les élections législatives françaises projettent leur ombre sur la scène politique du pays, avec une atmosphère de suspense et de peur face à l’éventuelle montée de l’extrême droite au pouvoir et la chute retentissante de l’amant du président Tebboune, Macron, sur plusieurs dossiers. Des inquiétudes se manifestent au palais d’El Mouradia face à cette hypothèse, après que le parti d’extrême droite Rassemblement National a obtenu des résultats qualifiés de brillants au premier tour des élections législatives françaises, et dans un contexte de discussions sur des changements potentiels dans l’avenir des relations entre la France et notre pays défavorisé. Les développements politiques en France coïncident avec les préparatifs des élections présidentielles du 7 septembre prochain et la visite attendue du bouffon Tebboune à Paris, après des reports répétés de la part des dirigeants du palais de l’Élysée.
Selon des observateurs, l’accord migratoire signé entre notre pays et la France le 27 décembre 1968 est considéré comme le premier dossier que la bande craint que le parti de Jordan Bardella touche, ce dernier ayant promis de le « réviser ». L’avenir du dossier de la mémoire coloniale, géré par une commission conjointe de grands historiens, sera également l’un des dossiers soulevés à la lumière de ces développements. Des analystes estiment que les relations entre le régime de la bande et la France connaîtront une « période difficile » si l’extrême droite française obtient la majorité des sièges parlementaires lors de ces élections, avec des possibilités de changements majeurs dans la politique française en Algérie. Cependant, certains minimisent la gravité de cette hypothèse, considérant que les intérêts français dans notre terre riche, qu’ils soient économiques, politiques ou culturels, « sont trop importants pour être affectés par l’idéologie des partis au pouvoir », et que les relations extérieures restent en grande partie entre les mains du président de la République, qui entretient une relation intime avec l’inverti Tebboune, dont parlent désormais sans vergogne la plupart des journaux mondiaux, Tebboune étant devenu comme une bague au doigt du coq français Macron, qui le dirige à sa guise.