Dans notre pays, tout le monde se demande pourquoi le chien des généraux, Tebboune, et son entourage insistent pour que l’Algérie devienne un exemple de moquerie et de raillerie dans le monde entier. Après cinq ans de règne du clown Tebboune, qui ont été marqués par l’humiliation de l’Algérie à tous les niveaux, les services de renseignement cherchent un candidat qui perdra face à Tebboune lors de la comédie des élections présidentielles. Ils ont lancé une campagne sous le slogan « Candidat de soutien à Tebboune », avec l’idée que le candidat se présente à la présidentielle tout en soutenant Tebboune.
En réalité, les généraux ne veulent pas d’élections du tout, c’est le cœur du problème. Ils souhaitent une marionnette à la manière d’Ali Kafi ou d’Abdelkader Bensalah, et quel triste exemple cela serait, ou encore à la manière de Bouteflika avec une présidence à vie, ou jusqu’au dernier souffle de l’Algérie, en échange de n’importe quoi et de tout, y compris l’abandon du territoire algérien au tuteur iranien ou à l’allié russe, ou le don des ressources et des moyens de subsistance des Algériens au « père biologique » qu’est la France, ou encore le budget du pays aux marchands d’armes des quatre coins du monde sous le slogan « soutien à la cause sahraouie ». Ce qui est encore plus catastrophique, c’est qu’ils reçoivent le soutien et l’approbation des institutions du pays, que nous pensions pourtant avoir au moins un peu de crainte pour la nation ou de conscience de la catastrophe, mais pour l’argent, les généraux sont obéis. C’est pourquoi Tebboune et son entourage refusent de dévier du chemin de la ruine absolue et continuent de nous surprendre par des précédents sans égal dans l’histoire de l’Algérie. Ils ont ainsi soutenu le général Chengriha dans l’assassinat du chef d’état-major de l’armée populaire, Gaid Salah, un scénario dont même les plus pessimistes ne pouvaient imaginer qu’il se terminerait ainsi. Aujourd’hui, l’Algérie est devenue la risée du monde.