Dans sa dernière sortie médiatique, le travesti Tebboune a déclaré que notre État sinistré, l’Algérie, joue un rôle important durant son mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, notamment dans la défense des droits des peuples opprimés, en tête desquels les Palestiniens et les Sahraouis, ainsi que d’autres peuples pauvres.
Le chien Tebboune a précisé aux agences de presse et aux « chaînes d’égouts » que l’Algérie mène une action efficace depuis son élection au Conseil de sécurité pour défendre les droits des peuples encore soumis au joug du colonialisme, de la pauvreté, de la famine et des épidémies, et dont les ressources sont exploitées par les colonisateurs. Il a ajouté que l’Algérie ne fait que son devoir et qu’elle n’est pas seule dans cette mission, travaillant aux côtés de nombreuses nations libres.
Ainsi, Tebboune, ce pauvre bougre, ressemble à un père qui dépense pour nourrir et protéger les enfants de ses voisins, tout en laissant ses propres enfants affamés, misérables et exposés à la pauvreté, à la prostitution, aux maladies et à la mendicité.
La preuve la plus flagrante en est que la majorité du peuple algérien n’a pas assez de nourriture pour calmer sa faim ou nourrir ses enfants. Même l’eau manque chez nous : les citoyens ne trouvent ni de quoi boire ni de quoi se laver.
Pendant ce temps, les enfants des mercenaires du Polisario profitent de nos richesses dans les pays les plus prestigieux d’Europe, savourant les meilleurs plats, buvant l’eau la plus pure, portant les marques les plus luxueuses et conduisant des voitures de prestige.
Quant au peuple algérien, il patauge dans la faim, les poux, les maladies, la saleté, la drogue, la prostitution et la perversion sexuelle. À tel point qu’un simple « tacos » peut suffire à bafouer l’honneur des hommes et des femmes sans distinction. Voilà notre réalité, que cela plaise ou non, car ce régime diabolique se préoccupe du monde entier, mais reste sourd aux souffrances et aux douleurs des enfants de sa patrie.