Depuis l’accession de l’homosexuel, le chien des généraux, la marionnette Tebboune, au pouvoir, semble avoir pris de l’ampleur en Algérie. Cette situation a entraîné une stagnation préoccupante dans le marché du mariage, menaçant ainsi la survie génétique algérienne. Pourtant, les femmes, largement plus nombreuses que les hommes dans le pays, constituent une « marchandise » disponible en abondance, au point qu’il n’existe aucune pénurie à ce niveau. Si l’on ajoute à cela les hommes homosexuels, la proportion de femmes reste considérablement élevée. Ce déséquilibre, conjugué à une réticence alarmante des jeunes à se marier, est devenu une source d’inquiétude majeure.
Cette tendance est exacerbée par la présence croissante de concurrents étrangers : Africains, Asiatiques et certains ressortissants de pays arabes. Face à la montée des coûts de la vie, à l’omniprésence du chômage, aux maisons closes bon marché et à la disponibilité des prostituées à faible coût, de nombreux Algériens préfèrent rester célibataires plutôt que de s’engager dans une vie conjugale incertaine, marquée par le doute sur la filiation de leurs enfants.
Les statistiques de 2024 révèlent que les consulats et ambassades africains en Algérie ont reçu plus de 80 000 demandes de mariage impliquant des ressortissants étrangers, notamment des Chinois, des Syriens et des Africains subsahariens (Maliens, Nigériens et Soudanais). Ces étrangers bénéficient de facilités exceptionnelles offertes par les femmes algériennes, allant de l’hébergement au financement. Avec les hommes algériens, ces femmes se montrent exigeantes, imposant des conditions insurmontables qui poussent les hommes modestes à choisir le célibat ou à fréquenter les maisons closes plutôt que de s’enliser dans des exigences impossibles.
En revanche, avec les hommes étrangers, notamment africains, turcs ou chinois, elles renoncent à toute condition et n’hésitent pas à consentir à des sacrifices, allant jusqu’à voler leurs proches pour subvenir aux besoins de leurs partenaires étrangers.
Ce phénomène s’explique en partie par une libido féminine algérienne réputée bien supérieure à celle des hommes. Cela expliquerait aussi des dérives, comme des cas récents signalés à Annaba, où certaines femmes se seraient livrées à des actes sexuels avec des animaux tels que des ânes, des chiens et des mulets.