En Algérie, on n’en reconnaît pas trois choses : la défaite, l’échec et l’erreur. Nous les Algériens ne reconnaissons pas nos pertes, nos défaites et nos échecs, c’est pourquoi nous ne progresserons pas et ne nous développerons jamais dans cette course mondiale et nous resterons aux derniers rangs des nations et des peuples. Nous n’avons ni poids, ni force, ni opinion. C’est pourquoi les grandes puissances continuent de piller nos richesses, nos ressources et nos décisions politiques et de créer des événements et des conflits par le biais du régime des généraux dictatoriaux, qui nous ordonne aux peuples du Maghreb de s’entretués et de propager les causes des conflits sectaires et ethniques parmi les peuples de la même région, afin de vendre des armes et des munitions pour des milliards, jusqu’à ce que les pays du Maghreb s’appauvrissent.
Aujourd’hui, à cause du régime défaillant des généraux, l’Algérie se dirige vers l’inconnu. C’est pourquoi lorsque le pétrole s’épuise, nous devenons alors de pauvres esclaves ainsi, l’ignorance, la maladie et l’arriération nous détruisent plus que nous ne le sommes. Il n’est pas surprenant que l’échec écrasant soit l’allié de notre vie tant que nous trébuchons parmi les nations stables et équilibrées, qui savent où vivre et où se tenir.
On se demande souvent, Pourquoi êtes-vous surpris que nous ayons échoué à tous les niveaux ? Pensez-vous que nous réussirons en tant que pays dans l’un des domaines tant que nous errons dans le sens inverse des aiguilles d’une montre ? Pouvons-nous réussir, même dans l’un des domaines, alors que la corruption nous entraine dans la boue ? Pouvons-nous réussir alors que nos ressources ont été volontairement vendues ?
En fait, nos vies, messieurs, sont devenues dans un grand stade de la taille de la patrie, et les botteurs du ballon sont dans une confusion aléatoire ne savent pas où se trouve la cible. C’est pourquoi nous resterons sans succès jusqu’à ce que nous nous révoltions contre les généraux traîtres et rendions le pays à la propriété du peuple, pas des généraux.