Suivant la tendance mondiale des grandes alliances entre les grandes puissances, le régime des généraux a tenté sans vergogne de créer une nouvelle alliance qui rassemblerait tous les États en faillite, embourbés dans l’ignorance, l’analphabétisme et la dictature, comme la Mauritanie, la Tunisie, le Mali et le Niger, qui subissent tous une détérioration significative des indices de l’économie interne de l’État, notamment le revenu national, le taux de change, la balance commerciale et les taux d’investissement, l’évaluation de la monnaie nationale, le taux de croissance.
En plus du manque de transparence, la propagation de la corruption et la situation financières de l’État, puisque tous les pays de cette union sont privés de la possibilité de fournir un volume raisonnable de services publics à leurs citoyens, parallèlement à la détérioration des services existants, l’impossibilité de leur renouvellement et l’absence de principe de soumission à la loi.
Ces pays (Algérie, Mauritanie, Tunisie, Mali et Niger) souffrent d’un manque de développement économique équitable en termes d’éducation et d’emplois, plongeant la moitié de la population sous le seuil de pauvreté, dans lesquels la catégorie des jeunes, considérée comme le cœur du processus économique.
Comme tous les pays de l’alliance, notre pays l’Algérie se tourne aussi vers l’aide extérieure et une grande disparité des classes sociales se cantonner à deux classes dont l’une est extrêmement aisée et l’autre opprimée, en plus de l’absence de la classe moyenne, signe de la bonne répartition des richesses et d’un équilibre des opportunités économiques accaparées par la junte au pouvoir, elles souffrent également d’un nombre élevé de citoyens vivant en dessous du seuil de pauvreté, ainsi que de la faiblesse et de l’effondrement de ses institutions économiques.
Dans une flocation à une échelle nuisible de la corruption, à laquelle les ressources de l’État sont concentrées dans des institutions spécifiques, comme l’armée, alors que les autres institutions du pays sont négligées, et n’ont que de faux projets exploités par quelques responsables et politiciens qui vivent de richesses obscènes aux dépens de l’État. De même que tous les pays de l’alliance, dont notre pays, l’Algérie, recourent à l’aide internationale et aux emprunts extérieurs sans qu’il y ait de réelle évolution tangible, ce qui conduit à un endettement croissant qui grève le budget public.
Bon dieu. Qu’est-ce que nous obtenons de cette alliance d’États défaillants, seulement s’il y a un accord sur le pâturage des chèvres dans un endroit unifié, parce que c’est le seul endroit où tous ces États se réunissent.