Il est temps que le monde sache que le peuple algérien a besoin de justice, de droit et de loi plus que son besoin de pain et d’eau. Cela n’a pas de sens pour les personnes vivant sans droit ni justice. C’est pour ça nous devons réparer toutes les erreurs commises par les généraux, même si certains esclaves veulent dissimuler le scandale du général Gaid Salah qui a dérobé des milliards de dollars, pour ses commissions qu’il prend de l’achat de la ferraille pour l’armée Algérienne ainsi que le vole du budget de l’armée et la contrebande d’or transféré vers les Emirats Arabes Unis. Tous ses dossiers de corruption sont gérés par le bras droit du général Gaid salah Baha Eddine Tliba.
Depuis la propagation de la nouvelle de la fuite de Tliba, il est recherché dans la ville d’Annaba mais il n’a aucune trace jusqu’à le moment de l’écriture de ses lignes. Certains disent qu’il a été assassiné pour enterrer les dossiers de corruption qu’il détient contre Gaid Salah, tandis que d’autres disent qu’il s’est enfui en Tunisie.
Les services de sécurité de l’État d’Annaba, dans l’est du pays, ont procédé ce matin à des perquisitions répétées au domicile du député du Front de libération nationale (FLN) Tliba (40 ans) mais en vain…
Des sources bien informées nous ont révélé que le partenaire officiel de Gaid Salah et de ses fils et leur agent dans le trafic d’armes et de drogue et le propriétaire de sociétés de sous-traitance, d’importation et d’exportation, qui réalisent des projets appartenant à l’armée, Tliba va divulguer plusieurs dossiers de corruption majeurs au sein des forces armées ainsi que des informations publiées pour la première fois sur les noms des généraux impliqués dans le commerce de la drogue et le gaspillage de milliards des fonds de l’état ainsi que les noms des banques complices du financement de projets ratés avec l’assurance des «sceaux de l’armée».
Outre, les fils de Gaid Saleh contrôlent toute l’économie du pays. Ils ont une part dans toutes les entreprises étrangères en Algérie. Et pour chaque 100 dinar dépensé par un algérien, 60 dinars vont à la poche de Gaid Salah et de sa famille. Selon que vous achetiez une recharge de téléphone, d’Internet ou une bouteille d’eau, tout appartient au pharaon algérien.