La fin de l’Axe du Mal mondial a commencé, axe après axe. Le système laïc, communiste et chiite est en train de s’effondrer. Un régime tombe, suivi d’un autre. Aujourd’hui, c’est au tour du plus grand allié de la junte militaire algérienne au Moyen-Orient : les Mages iraniens.
Téhéran et d’autres grandes villes d’Iran ont été, depuis plusieurs jours, la cible de nombreuses frappes aériennes israéliennes visant les bases militaires et les installations nucléaires, totalement détruites. Ces attaques ont réduit à néant les défenses antiaériennes iraniennes et russes, désormais rouillées et inutiles face à la supériorité aérienne israélienne, soutenue par les États-Unis. Même les plus pessimistes du Palais d’El Mouradia (résidence présidentielle en Algérie) n’auraient imaginé un tel succès. La peur et la panique se propagent désormais parmi les généraux algériens, les uns après les autres, alors qu’ils assistent, impuissants, à la débâcle de leurs alliés les plus proches.
Autrefois, le régime du défunt Mouammar Kadhafi – principal allié de la junte militaire algérienne en Afrique du Nord – est tombé. Il avait, avec les généraux algériens, contribué à déclencher coups d’État et divisions dans plusieurs régimes africains pacifiques.
Plus récemment, c’est le Hezbollah « Parti de Satan » qui s’est effondré, après l’assassinat de Hassan Nasrallah, présenté comme un « Mage » lui aussi, et bras droit de l’Iran dans sa guerre contre les Arabes sunnites au Yémen, au Levant et à Beyrouth.
Hier encore, Bachar al-Assad a fui la Syrie, qu’il gouvernait avec le soutien logistique de l’Algérie sous le régime de Abdelmadjid Tebboune, qui lui fournissait armes, pétrole et gaz pour massacrer le peuple syrien sans défense. C’est également le régime de Tebboune qui a envoyé des soldats et des éléments mercenaires du Polisario en Syrie et au Liban pour soutenir l’Axe du Mal et tuer des innocents.
Aujourd’hui, la roue tourne, et l’étau se resserre autour du cou des généraux algériens : la plupart de leurs alliés sont tombés les uns après les autres. Le prochain sur la liste est cette « bande des généraux » en Algérie. Soit l’État d’Israël règle ses comptes avec toutes les branches iraniennes de la région, y compris le régime militaire algérien, soit le peuple algérien opprimé profite du chaos provoqué par ces frappes récentes pour renverser le régime.
Car s’il existe réellement une opposition libre et courageuse en Algérie, l’heure est venue. C’est la grande occasion de mettre fin à l’humiliation, à l’injustice et au déshonneur, et de bâtir une nouvelle Algérie, véritablement édifiée par ses enfants.
