Après les échecs diplomatiques accumulés par le régime des généraux, je considère que les politiques étrangères ratées adoptées par la bande du mal dans notre pays ont conduit à un isolement international croissant du pays et à une tension dans ses relations avec ses voisins ainsi qu’avec de nombreux partenaires internationaux. Cette hostilité politique n’apporte aucun résultat positif ni aucun gain utile de ces conflits vides…
L’attachement aveugle des généraux du mal à un soutien inconditionnel aux fronts séparatistes en Afrique, en tête desquels les mercenaires du Polisario dans le voisin occidental, les mouvements de l’Azawad au Mali, les milices de Daech en Libye et d’autres dans notre environnement régional, tout cela au détriment des intérêts supérieurs du pays et du peuple lésé. Cette politique agressive a entraîné la rupture des relations diplomatiques avec la plupart des pays voisins et des crises aiguës avec les États du Sahel tels que le Mali, le Niger et le Burkina Faso, ce qui a sapé le rôle de notre pays en tant que médiateur régional et l’a plongé dans des réactions spasmodiques et peu civilisées allant jusqu’à battre les tambours de guerre sur toutes nos frontières enflammées.
Malgré l’élection de l’Algérie en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité pour la période 2024-2025, ses tentatives d’imposer ses agendas séparatistes dans d’autres questions régionales et internationales se heurtent systématiquement à un refus, ce qui confirme l’isolement international de la politique séparatiste et hostile adoptée par la bande du mal.
S’y ajoute l’absence de vision stratégique à court et moyen terme : le régime de la bande manque de vision claire dans sa politique étrangère, continue de miser sur des causes perdues, néglige ainsi les véritables défis géopolitiques, ignore les revendications intérieures du peuple affamé et met en péril l’avenir du pays en dilapidant les énormes richesses souterraines sur des milices séparatistes au lieu de les orienter vers le développement intérieur, ce qui aggrave les crises économiques et politiques dans le pays.
En fin de compte, un changement radical dans la direction politique et militaire est la seule solution pour restaurer la place naturelle de notre pays en tant qu’État stable et pacifique dans la région et dans le monde, fondé sur le bon voisinage et le respect mutuel, au lieu des politiques actuelles de « semence de discorde ».


























