Un nouveau rapport publié par le journal français « Le Monde » a révélé que trois jours après l’attaque sanglante contre les Kurdes à Paris, les détails de l’incident ont commencé à se dérouler dans lesquels l’accusé, William M., a admis avoir effectué son opération pour « motifs racistes ».
Trois Kurdes ont été tuées dans l’attentat de vendredi dernier, dont la militante des femmes kurdes de France, Amina Kara, alors que la communauté kurde et le Xe arrondissement de Paris sont toujours sous le choc.