Documents divulgués aux États-Unis ; Le plan secret de l’Egypte pour fournir des milliers de missiles à la Russie

Citant un document confidentiel divulgué en ligne, le Washington Post a rapporté que les renseignements américains présumés indiquaient que l’Égypte avait l’intention de fournir secrètement jusqu’à 40 000 missiles à la Russie au début de cette année.
dans ce document, il est indiqué que le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a ordonné que la production et l’expédition de ces missiles se fassent en secret afin d’éviter des problèmes avec le Ouest.
L’Égypte est l’un des principaux alliés de l’Amérique au Moyen-Orient, ayant reçu plus d’un milliard de dollars par an en aide à la sécurité des États-Unis pendant des décennies.
Selon ce rapport, ces documents font également référence aux projets de l’Égypte de fournir à la Russie des boulets de canon et de la poudre à canon.
Selon ce rapport, le porte-parole du ministère égyptien des Affaires étrangères a également déclaré que la position de son pays est basée sur la non-ingérence dans le conflit et le soutien de la Charte des Nations Unies et des lois internationales.
Plus tôt, les médias américains ont rapporté que le Pentagone et le ministère américain de la Justice avaient lancé une enquête sur la divulgation de documents classifiés sur Washington et les plans de l’OTAN pour préparer les forces ukrainiennes à une contre-attaque contre la Russie. De nombreux documents révélant des informations sur des plans d’envoi d’armes et des numéros de troupes ont été publiés, notamment sur Twitter et Telegram. Le 7 avril, le New York Times a rapporté qu’un nouveau lot de documents américains classifiés et top secrets liés à la guerre en Ukraine avait été divulgué en ligne. Selon ce rapport, les documents divulgués contiennent également des informations sur le Moyen-Orient et la Chine.
Reuters a rapporté que la divulgation pourrait être l’une des plus importantes depuis la publication de plus de 700 000 documents et messages diplomatiques sur le site Web WikiLeaks en 2013. Pendant ce temps, Reuters souligne que les documents divulgués peuvent être faux.