Les Palestiniens en quête de paix : Les zones de sécurité de la bande de Gaza sous tension continue

Les Palestiniens ne connaissent pas la paix même dans Les zones de sécurité de la bande de Gaza, car les attaques incessantes de l’armée israélienne persistent à travers la région.
Mardi, les forces de l’armée israélienne ont intensifié leurs bombardements sur les camps de réfugiés au centre de la bande de Gaza, préparant ainsi le terrain pour l’expansion de leur offensive terrestre. Les habitants des zones centrales de la bande de Gaza ont rapporté des bombardements et des frappes aériennes nocturnes ciblant plusieurs camps, selon l’agence de presse Associated Press.
Dans ce contexte, un témoin palestinien a déclaré que « Le bombardement a été extrêmement intense, et il semble que les forces d’occupation s’approchent, tout comme les combattants et l’artillerie ennemis dans les zones à l’est du camp de Nuseirat. »
Vendredi, l’armée israélienne a émis un ordre d’évacuation pour les habitants d’une zone du centre de Gaza, les dirigeant vers le sud. Selon le New York Times, avant le conflit, environ 90 000 personnes vivaient dans le sud de la bande de Gaza, mais avec le déclenchement de la guerre, 60 000 personnes du nord de la bande de Gaza ont été déplacées vers cette région.
Malgré l’évacuation de ces zones, les Palestiniens ne trouvent pas de répit, car les attaques de l’ennemi sioniste se poursuivent presque partout, y compris dans le sud de la bande de Gaza.
L’UNRWA estime qu’au moins 300 réfugiés palestiniens ont perdu la vie dans des abris à travers la bande de Gaza depuis le début de la guerre, tandis que plus de 1 000 autres ont été blessés. Des familles palestiniennes ont été contraintes de déménager à plusieurs reprises pour des raisons de sécurité, selon les déclarations de l’organisation.
Les statistiques du ministère de la Santé de Gaza indiquent que depuis le début de la guerre contre Gaza, plus de 20 600 Palestiniens ont été tués, dont les deux tiers étaient des femmes et des enfants. Le New York Times a averti que sans un cessez-le-feu, les résidents déplacés continueront de faire face à des conditions difficiles.