Dans le cadre de leur lutte continue contre les crimes organisés et le trafic de drogue, les forces de la gendarmerie et de la police ont mené une nouvelle opération dans la commune de Meskiana. Cette intervention a conduit à l’arrestation de quatre individus et à la saisie de 18 000 comprimés de Prégabaline 300 mg.
L’affaire a débuté mercredi, lorsque le comportement suspect de trois jeunes dans un véhicule a attiré l’attention des agents des deux forces de sécurité. Les jeunes semblaient utiliser leur téléphone de manière excessive, probablement pour signaler la présence de la police. Avec l’aide des services judiciaires, les agents ont appréhendé les trois occupants et les ont emmenés au commissariat.
La fouille du véhicule a révélé une grande quantité de barbituriques, dissimulée dans le moteur. Grâce à l’analyse des communications entre les membres du groupe, un quatrième complice a été identifié et arrêté à Aïn-Beïda, en possession d’une quantité similaire de psychotropes.
Des dossiers judiciaires ont été ouverts contre les quatre membres du groupe, âgés de 29 à 42 ans, pour «détention, stockage et vente de produits psychotropes sans autorisation».
Si ce bateau avait été intercepté par les garde-côtes algériens, le sort de cette femme et de son enfant aurait pu être bien plus tragique. En effet, les autorités algériennes n’ont pas hésité à ouvrir le feu sur des familles entières tentant de fuir, tuant sans pitié des citoyens désespérés. Même lorsqu’ils cherchent à échapper à la tyrannie des généraux, les Algériens sont confrontés à une violence impitoyable, ramenés de force dans un pays qui leur refuse tout espoir de dignité.
Cette triste réalité démontre à quel point la répression et la manipulation des masses peuvent transformer une population en otage de ses propres dirigeants, incapable de reconnaître ses oppresseurs même en pleine crise.