Dans le cadre de la liquidation de la succession du général assassiné Gaid Saleh, le général Saïd Chengriha, chef d’État-major de l’Armée nationale populaire, continue d’arrêter ou de limoger tous ceux qui ont des relations avec le défunt, général Gaid Saleh, de sorte qu’il a décidé de mettre fin aux fonctions du général Khaled Aïssa Bey, directeur central de l’intendance au ministère de la Défense nationale, et le remplacer par le colonel bouteldja en attendant une vaste campagne d’arrestations et de limogeage que va mener le général Chengriha dans les prochains jours …
Dans un autre contexte, l’avocat de l’ex-patron du Département du renseignement et de la sécurité, Mohamed Mediène connu sous le nom de général Toufik, qui est en détention, Farouk Ksentini, a fait part de l’opinion de son client sur les charges retenues contre lui concernant sa rencontre présumée avec Saïd Bouteflika. Ainsi, son client estime qu’il est totalement innocent de ces accusations et que sa rencontre avec Saïd Bouteflika était une réunion consultative afin de sortir de la crise que l’Algérie traversait suite aux manifestations gigantesques au cours desquelles le peuple a demandé le départ de Bouteflika et les symboles de son régime.
« Comment je comptais organiser un coup d’État contre le régime avec quelqu’un qui avait tous les pouvoirs du président et qui était tout dans le pays ? », se demande le général Toufik selon son avocat qui a ajouté que son client lui a dit que «Saïd Bouteflika était le symbole de l’autorité, alors comment le symbole de l’autorité existante peut-il se retourner contre lui-même? ».
Concernant les procédures à suivre par la Cour suprême, Farouk Ksentini a indiqué que le tribunal réexaminera les procédures qui ont été suivies par le Tribunal militaire de Blida et la Commission d’appel militaire dans le dossier.
Le tribunal examinera si les procédures de traitement du dossier judiciaire sont correctes ou non, et si le tribunal estime que ces procédures sont valides, il confirmera la décision rendue auparavant et s’il considère que ces procédures sont incorrectes, la Cour suprême va ordonner un nouveau procès au niveau d’une autre autorité judiciaire militaire.
Chengriha continue de liquider la succession de Gaid Saleh, et le général Tawfiq se demande comment le roi se retournera t-il contre lui-même ?
Dans le cadre de la liquidation de la succession du général assassiné Gaid Saleh, le général Saïd Chengriha, chef d’État-major de l’Armée nationale populaire, continue d’arrêter ou de limoger tous ceux qui ont des relations avec le défunt, général Gaid Saleh, de sorte qu’il a décidé de mettre fin aux fonctions du général Khaled Aïssa Bey, directeur central de l’intendance au ministère de la Défense nationale, et le remplacer par le colonel bouteldja en attendant une vaste campagne d’arrestations et de limogeage que va mener le général Chengriha dans les prochains jours …
Dans un autre contexte, l’avocat de l’ex-patron du Département du renseignement et de la sécurité, Mohamed Mediène connu sous le nom de général Toufik, qui est en détention, Farouk Ksentini, a fait part de l’opinion de son client sur les charges retenues contre lui concernant sa rencontre présumée avec Saïd Bouteflika. Ainsi, son client estime qu’il est totalement innocent de ces accusations et que sa rencontre avec Saïd Bouteflika était une réunion consultative afin de sortir de la crise que l’Algérie traversait suite aux manifestations gigantesques au cours desquelles le peuple a demandé le départ de Bouteflika et les symboles de son régime.
« Comment je comptais organiser un coup d’État contre le régime avec quelqu’un qui avait tous les pouvoirs du président et qui était tout dans le pays ? », se demande le général Toufik selon son avocat qui a ajouté que son client lui a dit que «Saïd Bouteflika était le symbole de l’autorité, alors comment le symbole de l’autorité existante peut-il se retourner contre lui-même? ».
Concernant les procédures à suivre par la Cour suprême, Farouk Ksentini a indiqué que le tribunal réexaminera les procédures qui ont été suivies par le Tribunal militaire de Blida et la Commission d’appel militaire dans le dossier.
Le tribunal examinera si les procédures de traitement du dossier judiciaire sont correctes ou non, et si le tribunal estime que ces procédures sont valides, il confirmera la décision rendue auparavant et s’il considère que ces procédures sont incorrectes, la Cour suprême va ordonner un nouveau procès au niveau d’une autre autorité judiciaire militaire.