Le gardien Raïs M’Bolhi est l’un des éléments les plus importants de l’équipe algérienne, qui a atteint la finale de la Coupe d’Afrique des Nations en Égypte. Raïs M’Bolhi a réalisé une solide performance au cours de ce tournoi et a gardé son filet propre lors de quatre matchs consécutifs. Jusqu’à présent, il n’a reçu que deux buts en six matchs.
Raïs M’Bolhi, 33 ans, n’a eu que de rares occasions de parler à la presse locale et étrangère. « Le gardien algérien est un jeune homme depuis son enfance et tient à rester en retrait », a déclaré l’entraîneur français Philippe Troussier, qui a supervisé M’Bolhi au début de sa carrière à Marseille.
L’ancien capitaine de l’équipe nationale algérienne, Carl Medjani, a expliqué la réticence de M’Bolhi à se protéger des influences extérieures.
Le gardien actuel du club saoudien Ettifaq FC est connu pour ses fréquents transferts entre les différents clubs: il a commencé à Marseille dès l’âge de 18 ans et a joué à Chypre, en Grèce, en Russie, au Japon, aux États-Unis, en Bulgarie et en Turquie.
Son début avec l’équipe nationale algérienne a été remarquable lorsqu’il a été invité à rejoindre l’équipe quelques semaines avant la Coupe du monde de football de 2010 en Afrique du Sud.
Après s’être assis sur le banc lors de la première rencontre contre la Slovénie, il a pris la place du premier gardien de l’équipe nationale dès le deuxième match contre l’Angleterre et les États-Unis.
Cependant, le joueur qui a commencé avec l’équipe algérienne a été associé à un triste souvenir, le joueur ayant perdu sa mère alors qu’il était occupé à se préparer pour l’équipe nationale algérienne en 2010.
M’Bolhi est d’un père Congolais une mère Algérienne, mais les parents se sont séparés rapidement pour vivre ensuite avec sa mère, ce qui confirme que c’était la raison de son attachement à l’Algérie et a choisi de défendre ses couleurs.
M’Bolhi tient à commémorer sa mère lors des moments décisifs de sa carrière, qui sont apparus lors de la récente confrontation des guerriers contre le Nigéria en demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations, où le nom de sa mère était gravé sur le gant sur lequel il portait pendant le match.