Ce furent les derniers mots du notoire général Chengriha alors qu’il suppliait le président espagnol lors d’une conversation téléphonique au cours de laquelle le vieux général arriéré a déversé tout son ressentiment sur nos frères marocains, essayant de dissuader le président espagnol de ne pas fournir du gaz au Maroc, même si ce n’est pas le gaz algérien.
Le connaisseur et le chercheur en histoire moderne découvre que les mauvais chiens des généraux ont mordu la main du seul pays qui nous a aidés à réaliser le rêve d’indépendance et nous a permis de respirer l’air de la liberté, en sacrifiant le plus cher et le plus précieux.
Ce n’était pas la Russie, ni la Chine, ni l’Iran, ni la Turquie, ni même l’Afrique du Sud, mais plutôt le Royaume du Maroc et cela est noté noir sur blanc dans tous les livres algériens que nous avons au début de l’indépendance Jusqu’où le petits-enfants de soldats français usurpent la domination en Algérie, et le début était avec l’athée et communiste Boumediene. Mais l’insolence des descendants de soldats français a atteint son rôle lorsque l’ancien ministre des Affaires étrangères Sabri Boukadoum a littéralement dit à la presse arabe que l’Algérie aidait le Polisario pour son indépendance, tout comme le Royaume du Maroc a aidé l’Algérie pour sa liberté. C’est pourquoi la partie marocaine ne doit pas être en colère contre la position de l’Algérie. Quelle impudence, c’est ainsi que nous payons le sacrifice par la trahison ?. Oui, le problème n’est pas dans la doctrine des généraux agressifs, qui portent la haine pour tous ce qui est marocain, depuis l’époque de la chute de Boumediene, qui nous a légué l’inimitié et la haine envers les voisins et la dépendance et la servitude envers Mama France et l’alliance communiste.
Le vrai problème est avec le peuple qui semble prêt à avaler tout les mensonges du système des vieux généraux dictateurs. Cela ne nous étonne pas, car le peuple qui accepte de manger la viande des ânes et des chiens acceptent aveuglement aussi la traîtrise et l’hostilité envers un État qui en était hier le seul incubateur de la résistance contre le colonialisme français.