Pour ces raisons, les généraux nourrissent le peuple avec de la viande d’ânes et de chiens

Dans sa préface, Ibn Khaldoun expliqua que les Arabes mangeaient des chameaux, alors ils adoptaient la jalousie et la cruauté. Les Turcs mangeaient des chevaux, ils acquéraient le caractère de la férocité et de la force. Tandis que les Francs choisissaient les cochons comme leur nourriture préférée, « ils devinrent des prédateurs, et les nègres mangeaient des singes, alors ils en prenaient l’amour pour au ravissement. Donc tous ceux qui avaient l’habitude de vivre avec n’importe quel animal prenaient de sa nature et de son caractère, et s’ils mangeaient sa viande, la similitude serait plus forte.
Ces derniers jours en Algérie nous avons bourré nos estomacs avec beaucoup de viande d’ânes et de chiens, alors nous avons appris d’humiliation, d’inclinaison de la tête des ânes et l’aboiement du chien pour attaquer quiconque s’oppose et critique le régime des généraux. C’est pourquoi ils ont appliqué ce dicton à la lettre dans leurs relations avec le peuple opprimé.
Ils ont donc inondé le marché national de viande d’ânes et de chiens. Jusqu’à ce qu’il devienne un plat algérien populaire, outre les pattes de poulet, et que le résultat de l’excès de ces substances illicites soit l’excrétion d’un peuple stupide qui ne sait rien dans la vie que rugir au nom de Tebboune comme un sauveur légendaire et obéir aux ordres des généraux
Mais quand un citoyen rencontre son frère, un citoyen qui s’oppose au pouvoir des généraux et expose leur vénalité, il aboie après lui, et même le mord pour une bagatelle, tandis que les généraux se moquent d’eux et de cette situation. Et faire des algériens leurs ânes et leurs chiens qui les servent de leur plein gré et avec leur consentement.
En outre, les généraux criminels font la promotion de médicaments et de pilules hallucinogènes, qui étaient à l’origine un remède contre les chiens enragés, et les distribuent à bas prix dans tout le pays pour les mettre à la disposition de nos jeunes chômeurs, un plan conçu pour que les militaires saisissent le peuple algérien d’une poigne de fer et l’étouffe.