Nos sources d’information ont révélé qu’il y a plus d’un million d’ovins atteints de tumeurs cancéreuses dans le sud de l’Italie, causées par l’utilisation de l’aflatoxine, cancérigène, dans la nourriture des béliers par les agriculteurs, ce qui a entraîné des symptômes graves chez certains de ces béliers, mais la majorité étant actuellement en bonne santé, les autorités vétérinaires compétentes en Italie ont décidé de se débarrasser de ces moutons, de les brûler. Cependant, la mafia italienne de contrebande et les milices de destruction en Algérie ont un avis différent, au vu de la présence d’un client ignorant et soumis (le citoyen algérien) qui accepte même les ordures sur sa table.
Si nous organisions un concours pour trouver parmi les peuples du monde l’estomac le plus fort et le plus tolérant de tous les mauvais aliments et les pires de tous, nous découvrions que les Algériens sont les premiers et sans objection.
Et sur nos tables vous verrez des restes de viande d’animaux non comestibles, de la viande d’ânes morts, des mulets malades et des chiens enragés, chats, pattes de poulet et grenouilles en buvant des eaux des égouts.
Le résultat sera l’acquisition de la même immunité animale chez les algériens, mais notre immunité animale peut-elle résister à la viande de mouton cancérigène venant d’Italie ? Selon nos propres sources, les généraux ont acheté ces moutons via la mafia italienne de la contrebande et ils veulent inonder le marché locaux et même étrangers, comme la Tunisie et la Libye, pour combler la grave pénurie d’ovins, surtout à l’approche de l’Aïd al-Adha, et de les revendre aux citoyens au prix élevé et comme ça ils nous vendent notre mort et notre torture au prix le plus cher. Ils n’ont rien gratuit.
Aux yeux de ces généraux criminels, nous ne sommes plus qu’une des toilettes dans lesquelles ils déversent leurs excréments et leurs ordures, indifférents à notre vie ou à notre mort. Combien de temps va-t-il durer cette humiliation et cette disgrâce ? Il est conseillé d’émigrer quelque part afin de vivre une nuit de plus sous la férule des généraux traîtres.