L’Algérie est l’un des plus grands pays où la corruption financière est répandue, ce qui fait que le citoyen moyen perd espoir dans le gouvernement actuel, car ce dernier est associé à un certain nombre de crimes liés au pillage de l’argent public sous forme de pot-de-vin, l’évasion fiscale, la surestimation des factures et le gaspillage des revenus des ressources naturelles, dont chaque citoyen doit recevoir sa part.
Ces crimes commis contre l’économie du pays et les citoyens opprimés n’auraient pas eu lieu sans la complicité d’hommes politiques et de généraux militaires corrompus sous le règne du président fantoche Tebboune avec des riches qui avaient une relation amoureuse interdite avec des responsables militaires pour échanger les rôles et partager le butin en absence totale d’un contrôle efficace de plus de l’insolvabilité de la justice et la soumission des citoyens à l’oppression des gangs qui est encouragée par la nature du régime militaire pourri, basé principalement sur l’élargissement des pouvoirs du Président de la République, qui n’est souvent qu’une marionnette sur le trône, avec une main de fer parmi d’autres généraux, comme c’est actuellement le cas avec Chengriha et aux dépens des autorités législatives et judiciaires. Le résultat a été un gaspillage d’argent public, dont les chiffres atteignent un milliard de dollars.
Le film ne s’est pas arrêté là, en fait le général Chengriha a succédé à Gaid Saleh pour devenir le véritable dirigeant de l’Algérie et continue de piller l’Algérie et de gaspiller l’argent du peuple, le même parcours que celui du maudit Tebboune qui a succédé à Bouteflika, l’ancien dictateur du pays, et est devenu le deuxième homme du pays, et tous deux ont prêté serment devant leurs démons d’affamer le peuple algérien un par un et de faire de leurs enfants et des membres de leur famille les derniers dirigeants du pays, et personne ne semble pouvoir résister ou rejeter leurs désirs, alors que les Algériens sont devenus accros à lécher les bottes des généraux et il n’y a aucun signe de vie malgré nos appels.