Tout le monde en Algérie connaît le vif amour du général Chengriha pour la carrière professionnelle du colonel Houari Boumediene, arrivé au pouvoir après un coup d’Etat militaire contre son prédécesseur Ben Bella, car le monde entier sait que le général Chengriha est un véritable psychopathe, un monstre impitoyable et son ambition pour rester au pouvoir est capable de d’écraser le peuple algérien tout entier.
Il a tué ses proches et son bienfaiteur, le général Gaîd Saleh, pour se maintenir au pouvoir. Alors qu’en est- il de ses ennemis ? bien que le général Chengriha soit l’un des véritables dirigeants du pays dans les coulisses, il veut être le président de l’Algérie en public afin de réaliser son rêve, qui est d’imiter le traître enterré, Boumediene. Mais ses ennemis ont mis Tebboune dans son chemin pour saboter ses plans.
Il y a quelques semaines, il y avait des nouvelles que le général Chengriha veut se débarrasser de Tebboune de quelque manière que ce soit. C’est pourquoi les ennemis du Chengriha ont mis des tireurs d’élite dans le stade lors des jeux méditerranéens. Ils ont également obligé Tebboune à demander à Chengriha de l’accompagner sur la même voiture présidentielle lors de la célébration de la fête de l’indépendance dans une scène que vous ne verrez même pas imaginer dans les républiques bananières par peur général Chanegriha ait piégé la voiture de Tebboune.
Par conséquent, il ressort clairement des événements survenus que le conflit qui a éclaté au sommet de la pyramide du pouvoir dans le régime général est intervenu dans une situation où le système, selon les rapports internationaux, était confronté à la plus grande crise sociale de son l’histoire. La même crise dans laquelle Tebboune a averti à l’avance des conséquences en disant que les responsables ne devraient pas en destruction de l’unité et du consensus car les effets seront la « désintégration » du système dans une situation où le système est pris dans une crise profonde, surtout une crise sociale qui se traduira par des rébellions et des protestations massives et enflammées que les généraux n’auraient pas eu la capacité de surmonter cet immense défi. Dès lors, les crises se multiplient et s’épanouissent dans une lutte incontrôlable entre les scorpions du régime.
Maintenant, nous entendons les os du régime chancelant se fissurer et ses piliers s’effondrer. Ce jour-là, certaines sources affiliées au général Chengriha sont allées demander l’activation de l’article 88 de la Constitution algérienne concernant l’incapacité du président à exercer ses fonctions compte tenu de son état mental, et que ses actes et paroles ne conviennent pas au niveau de l’État algérien et annoncer la vacance de poste du président par voie de procuration démission, ce qui signifie que la démission du président Tebboune deviendra obligatoire même s’il ne la soumet pas effectivement. Le président Tebboune ne permet pas à ce dernier de briguer un second mandat présidentiel lors des prochaines élections présidentielles, et que l’establishment militaire doit prendre une conciliateur, alignement avec le peuple, à un moment où les observateurs s’accordaient à l’unanimité sur le fait que l’autre partie au conflit, le général Nizar et le général Tawfiq, préparait Abdelkader Bengrina à être plus chanceux afin de prendre la présidence du pays dans le cas de la chute de Tebboune.