Bien qu’il ne soit pas rare d’utiliser des armes à feu contre ses opposants, ce sombre régime démoniaque essaie toujours de faire attention à déguiser ses crimes odieux en accident ou incident, et de brouiller ses scènes de crime en effaçant toute preuve de son implication dans la dévastation subie par l’Algérie, dont le premier est l’anéantissement de plus de 300 000 citoyens et opposants au régime des gangs les généraux pendant la décennie noire où le malheureux régime a commis ces crimes contre l’humanité sous couvert de lutte contre le terrorisme et d’élimination des terroristes. Ce stratagème satanique a convaincu certains idiots et leur a permis d’usurper les richesses du pays et de détourner l’attention du peuple opprimé, créant le problème du Sahara Occidental et y a trouvé ce qu’il voulait.
Ainsi, la dernière chose à ce propos, le côté sauvage et le plus noir des généraux est la liquidation des éléments importants et actifs du mouvement béni, le Hirak, profitant des incendies qui ravagent le pays.
Selon, les informations exclusives reçu par notre site Web à partir de nos propres sources, 9 individus parmi les éléments encadrant le mouvement et s’opposant au régime militaire ont été liquidés et leurs corps carbonisés et ont été difficilement identifiés à la suite des incendies.
En effet, selon un rapport d’un expert médico-légal a déterminé que les corps de ces cadavres avaient des traces de balles, ce qui signifie qu’ils ont été tués par des militaires avant d’être jetés dans les incendies. La question est très claire. Comment alors expliquer la présence de cinq personnes appartenant à la wilaya de Tizi-Ouzou et de quatre autres, dont deux jeunes femmes appartenant à la capitale, dans la wilaya d’El Tarf au même moment et au même endroit alors qu’ils ne les unissent que l’amour de l’Algérie et la haine des tyrans les généraux?
Ils sembleraient que se sont les victimes d’un crime atroce et qui ont été éliminés et brutalement tués par des tyrans meurtriers comme le Moudjahid, Djamel Ben Ismaïl, qui a été sacrifié et assassiné à Tizi Ouzou, qui était l’un des opposants les plus importants du dictateur Chengriha et de sa bande, il a donc été liquidé d’une manière malveillante à laquelle même le diable ne peut y penser.