Des investisseurs étrangers utilisent l’huile de cuisson, subventionnée par l’état, comme lubrifiant pour les machines et les moteurs de leurs usines

Nos sources bien informées ont révélé des circonstances passionnantes concernant l’utilisation d’huile de table subventionnée localement par un investisseur étranger afin de lubrifier des machines hydrauliques et faire fonctionner ses moteurs dans une usine étrangère à Oran.
C’est un organisme accrédité pour offrir des facilités dont les sources sont anonymes auprès d’un investisseur européen. Et ce faisant, il a parfois gagné les grosses rations quotidiennes de produits alimentaires de l’huile de table pour lesquels les Algériens se battent chaque jour dans des files interminables, vendus à des prix imaginaires qui nous cassent le dos.
L’huile subventionnes par l’état algérien est utilisé dans cet usine pour lubrifier les machines hydrauliques et faire fonctionner leurs moteurs, car l’huile de table a une viscosité et des propriétés physiques similaires aux huiles moteur et pour le bas prix auquel l’investisseur étranger achèterait et que des officiers travaillent avec lui pour le lui faire passer en contrebande en toute simplicité au détriment ainsi de la sécurité alimentaire du pays.
Il y a même ceux qui ont renoncé à l’huile de cuisson et l’a remplacé avec de l’huile à moteur. Oui, cher lecteur, ne soyez pas surpris. La faim et la soif nous font manger de la viande d’ânes et de mulets, et nous utilisons de l’huile de moteur pour cuisiner et boire des eaux des égouts.
Selon nos sources, s’appuyant sur des enregistrements documentés de la scène, que ces derniers ont d’abord bénéficié de l’extraction de grandes quantités de d’huile de cuisson destinées à être consommées avant que sa mode de sortie de l’usine soit changé.
Selon la même source, ce n’est pas la seule usine étrangère à bénéficier de notre huile de cuisson. En fait, il existe plusieurs usines étrangères qui, sous la bénédiction de Tebboune et les encouragements du clown meurtrier Chengriha, multiplient les actions et privent les pauvres de cet aliment de base.