Dans le grand pays d’Algérie, tu peux vendre ton honneur ou de la drogue, mais pas de l’huile

En Algérie, « la superpuissance », qui a le grand potentiel de frappe, le pays qui a soutenu les États-Unis, la Russie et la France pour surmonter leurs crises et les a sauvé de l’extinction, un pays devenu une galaxie à part entière, selon les déclarations de l’un des tyrans de l’ancien régime des vieillards. Tous les sages de notre pays, de Farhat Abbas à ce jour, savent que notre glorieux État n’a jamais été une nation civilisée dirigeant des nations, et il ne le sera jamais tant que des loseurs comme Tebboune et Chengriha règnent sur le peuple opprimé et le conduisent comme une bête muet exploité pendant quand elle a toute sa force mais elle devient, elle est abattue et sa viande est jetée aux chiens errants.
Il est bon de vous faire savoir, chers citoyens, que toute personne qui vende de l’huile en dehors des limites fixées par les collectivités sera punie de plusieurs années de prison selon la quantité de l’huile vendue.
Et pendant que vous êtes en prison, n’oubliez pas de défendre la cause palestinienne en criant : « Vive Tebboune ».
Oui, c’est le comportement naturel de ceux qui ont accepté de manger des charognes et boire les eaux usées.
Quant à nos écoles, la plupart des enseignants n’ont pas travaillé depuis une semaine pour protester contre l’état misérable des départements, qui pourraient s’effondrer à tout moment.
Ce qui, s’il s’était produit, aurait provoqué une terrible catastrophe humanitaire sans parler du terrible surpeuplement qui caractérise les salles de classes dans tous les niveaux, outre, la propagation du phénomène de la maltraitance des filles et des vols avec violence dans les écoles en raison de l’insécurité totale et notamment l’assujettissement des enseignants à la violence verbale et physique voire au harcèlement sexuel.
Honnêtement, nous vivons dans une misère. Si nous n’aborderons le domaine éducatif dans notre pays, qui est devenu la plus grande moquerie de tout le continent africain. Quant aux cantines scolaires, une guerre acharnée se livre entre les élèves affamés pour le reste de la nourriture qui leur est donnée. En d’autres termes, lorsqu’un cadre national fait cruellement défaut, entrant à l’école comme s’il entrait dans une mini-guerre civile, l’agressivité des parents d’élèves envers les enseignants augmente. Cette surpopulation que nous avons atteint n’augure rien de bon.