Quel est le montant que le régime algérien a versé au président égyptien Abdel Fattah al-Sissi pour sa présence dans le sommet arabe ?

Dans la mise en scène du sommet arabe organisé par le régime des généraux et ses copains louseurs, qui à chaque occasion ils commencent à brailler, comme des stupides mulets, avec le mot d’ordre de la réunification et du rassemblement des Arabes sur notre sol, et que la diplomatie de la honte et de la disgrâce de l’«hmamra» est la seule qui soit capable de faire cela parmi les Arabes.
En réalité, ils ne font que croître notre isolement des frères arabes, ainsi leurs ruses et trahisons ne font qu’augmenter leur exposition au monde.
En effet, pour faire de ce sommet un succès, ils ont offert des pots-de-vin à des présidents pour y assister, et ils ont fait également pression sur d’autres par la force, pour remplir les chaises vides dans un échec sans précédent.
Nous avons reçu des informations exclusives sur notre site Web, selon lesquelles la fille du président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, nommée Aya, a reçu sur son compte bancaire aux îles Vierges britanniques, un montant de 50 millions de dollars d’une société écran, dont l’adresse est en Afrique du Sud, affilié au renseignement algérien. Ce montant était juste pour amener son honorable père, pendant deux jours au sommet, et remplir la chaise vide et la présence du président égyptien dans le misérable sommet organisé par une dictature.
Dans une autre contradiction, les organisateurs en Algérie n’ont pas invité le secrétaire général de l’Union du Maghreb arabe, Taïeb Baccouche pour des raisons que le secrétaire général ignorait, pour l’instant, mais que nous connaissons. En fait, Taïeb Baccouche est le plus grand opposant au dictateur Kaïs Saïed en Tunisie. Par conséquent, ce dernier a refusé de s’asseoir avec lui côte à côte dans ce sommet de dispersion.
Le régime algérien déclare sans cesse que nous sommes avec les peuples arabes, nous garantissons leurs droits et la dignité de vivre, alors que son armée à la frontière malienne, nigérienne expulse des réfugiés syriens, des femmes et des enfants fuyant l’enfer de Bachar dans leur pays vers les déserts d’Afrique peuplés de milices militaires, bandits, scorpions et serpents. Et c’était après que les militaires aient volé tout leur argent et leurs biens, y compris des téléphones portables, des montres, des bijoux des femmes, de l’or et même leurs vêtements. Prouver au monde que le régime qui nous gouverne n’a ni religion, ni dénomination, ni origine, ce n’est qu’un système de bandits et de bâtards.