La Conférence de Genève sur les droits de l’homme a fouetté les généraux devant le monde

La chaîne de télévision française d’information internationale, France 24 a rapporté que la délégation américaine participant à la 51e session du Conseil des droits de l’homme à Genève, ainsi qu’un certain nombre d’organisations non gouvernementales, ont interrogé la délégation algérienne sur la situation extrêmement préoccupante des droits de l’homme en Algérie sinistré.
La chaîne de télévision française a rapporté que la délégation américaine participant à la 51e réunion du Conseil des droits de l’homme à Genève, avec un certain nombre d’organisations non gouvernementales, a tenu les représentants du régime criminel pour responsables de la terrible situation des droits de l’homme dans notre pays souffrant de la violation flagrante des droits des malheureux citoyens ainsi que la situation de la population emprisonnée dans les camps de Tindouf et le refus du gouvernement algérien qui traite les citoyens comme des criminels simplement pour avoir exprimé pacifiquement leurs opinions d’assumer ses responsabilités légales et de mettre fin aux crimes odieux d’étouffer la liberté d’expression, de rassemblement pacifique, malgré les appels et demandes répétées des mécanismes du Haut-Commissariat aux droits de l’homme. Pourtant, le Haut-Commissariat International aux droits de l’homme a également souligné le courage du militants de la société civile, défenseurs des droits de l’homme, professionnels des médias et autres qui continue de dénoncer l’injustice et dire la vérité face à ces violences qui fait déjà partie de leur quotidien.
Outre, ils exigent le respect des droits de l’homme, et ils ont également annoncé leur surprise que les autorités algériennes ont refusé d’accorder des licences aux associations de droits de l’homme pour entrer dans les zones Kabyles et y effectuer des inspection, comme c’est le cas dans la région de Tindouf, qui comprend des détenus Sahraouis. En plus de remettre en question la situation inhumaine des détenus à l’intérieur des prisons d’horreur, oui c’est ça. Les accusations et les questions ont révélé le vrai visage des généraux devant le monde entier.