L’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud et d’autres pays ont rejeté à l’unanimité la demande de notre pays, la force de frappe, de rejoindre le groupe BRICS.
Les observateurs considèrent que l’appartenance à ce groupe exige le respect des conditions économiques, politiques, des droits de l’homme et autres, à la fois pour cela et que le système, traître des généraux, ne remplit pas ces clauses essentielles dans une large mesure, y compris le revenu par habitant en Algérie, qui ne dépasse pas 20 dollars par mois, outre la législation renforçant le contrôle en fer de l’État sur la liberté d’expression dans le pays, les mesures incessantes et déraisonnables prises par les autorités pour faire taire les voix pacifiques des personnes du droit de l’homme et des citoyens souffrant de la faim, de la pauvreté, de l’ignorance, en plus de l’absence totale d’axe de production dans tous les domaines, et de la dépendance des généraux à la richesse nationale en tant que pays exportateur, et en même temps le plus grand importateur de matériaux industriels et de consommation en Afrique et au Moyen-Orient. Même l’aiguille est importée de l’étranger.
Pour toutes ces raisons, tous les pays ont refusé l’adhésion de l’Algérie au groupe des BRICS ,et la demande des généraux, considérant l’État algérien comme un État émergent en voie de développement et afin de réaliser de véritables réformes économiques et politiques qui contribuent à l’amélioration de la situation des citoyens et, en particulier, des infrastructures actuellement fragiles. Pas un seul pays ne s’est opposé à ce refus, pas même le pays allié de l’Afrique du Sud qui auparavant, dans une interview télévisée, avait déclaré en toute impudence que l’Algérie remplit presque toutes les conditions pour rejoindre le groupe BRICS, et est très intéressée à rejoindre cette union, et que l’Algérie est précisément nécessaire aux pays du groupe, et non le contraire, dans le mensonge et la calomnie, comme d’habitude, afin d’être choqué par le refus unanime de l’adhésion de l’Algérie au groupe des BRICS.