La fierté des exportations algériennes des « cuisses de poulet » va envahir les marchés africains

De temps en temps, je me demande où nos ministres et responsable ont fait leur études? Et où ont-ils pris ces connaissances abondantes dans l’art de gérer et de faire les affaires et réaliser des transactions diplomatiques ?
En effet, leur niveau est très bas et très médiocre, pas en termes de gestion des crises ni même d’essai de conclure des affaires et d’attirer des investisseurs. La preuve en est la sortie d’un responsable de la taille du ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, appelé Kamel Rezig, devant un responsable africain, parlant avec arrogance et fierté à un responsable diplomatique, comme si l’homme allait lui exporter de l’oxygène, et pas une quantité de cuisses de poulet pourries et des pneus de voiture gonflés à l’air. Parce que nous n’avons rien à exporter. Si nous, en tant que citoyens, ne trouvons rien de bon à manger ou à boire, et encore moins exportons-nous à l’étranger.
Les responsables corrompus ne voient pas notre amère réalité et ne se donnent pas l’occasion d’entendre nos plaintes et nos peines. Si nous parlons de la qualité de ce que nous fabriquons, il n’y a rien de mal à cela. Le lait, par exemple, est la substance la plus simple qui puisse être fabriquée. Sur la recommandation de notre oncle, Tebboune, il est fait pour nous avec de l’eau et la poudre de lait. Autrement dit, le lait que nous buvons n’a rien à voir avec le lait, à l’exception du nom. Quant au pain que nous mangeons, il est entièrement importé de Tunisie. La crise de la pénurie de blé continue de nous ravager. Quant à la viande rouge, nous mangeons des charognes provenant de la viande d’ânes, de mulets et de chiens. Qu’est-ce que cet imbécile veut exporter en Afrique ? Il se vante que nous exportons vers l’Amérique et l’Europe au comble du mensonge et de la contrefaçon.
Lors de la dernière sortie de la brigade régionale de la gendarmerie nationale, 100 quintaux de boyaux de poulet pourris ont été confisqués et destinés à la consommation humaine. Avec l’arrestation d’un suspect de 30 ans.
Selon le communiqué de la gendarmerie, ladite quantité a été retrouvée à l’intérieur de réfrigérateurs ne respectant pas les conditions minimales d’hygiène. Le vétérinaire a confirmé que la marchandise était avariée et impropre à la consommation humaine.
Que veux-tu exporter en Afrique, idiot ? Et vous mangez dans le panier d’Aruba et buvez dans ses rivières. En effet, si vous n’avez pas honte, exporter ce que vous voulez.